Fifa Club Manager

j aime bien la reponse de la derniere question

Ibra critiqué l'arbitre ? Normal en même temps. Si il se prend un jaune pour l'avoir félicité... Même un compliment vaut un carton jaune maintenant .

Dit en passant j'ai vu les stat de Clément Turpin alias Lucky Luke euh .... j'en reste sans voix...

http://www.foot-national.com/arbitre-cl ... in-89.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Record à battre 10 cartons dans un match....ok ok c'était le derby corse mais quand même...

quoi tu l as encore amere car il a mit des cartons au pd de parisien ???bah il avait raison , j aurais meme 5 rouges moi . Comme ça , je serais rentré plus tot chez moi

En parlant de ça, dans l' emission Tribune Foot d' hier ( je sais, j' arrete pas d' en parler ), parait que les arbitres allemands sont des breles.
Ca polémique toutes les semaines encore pire qu' ici
Leur meilleur arbitre, c' est celui qui a validé le but rentré par un trou derrière les buts

Tobb a écrit :En parlant de ça, dans l' emission Tribune Foot d' hier ( je sais, j' arrete pas d' en parler ), parait que les arbitres allemands sont des breles.
Ca polémique toutes les semaines encore pire qu' ici
Leur meilleur arbitre, c' est celui qui a validé le but rentré par un trou derrière les buts

le pire , pour regarder le championnat allemand , c est vrais . Les arbitres sont atroces labas :siflotte:

Je comprends mieux pourquoi Shumacher s' est cru autorisé a emplafonner Battiston :siflotte:

eh remet toi s en , c etait le siecle dernier

spoucknick00 a écrit :eh remet toi s en , c etait le siecle dernier

Ben non, j' y peux rien
Je m' en rappelle encore comme si c' était hier
Le premier match ou j' ai pleuré et en rogne aussi

ah la vieillesse , c est Alzheimer ça

spoucknick00 a écrit :quoi tu l as encore amere car il a mit des cartons au pd de parisien ???bah il avait raison , j aurais meme 5 rouges moi . Comme ça , je serais rentré plus tot chez moi

Détrompe toi J'adore Turpin. L'un des meilleurs ( si ce n'est le meilleur) Arbitre Français. mais il faut avouer qu'il a des stats digne d'un panneau de flechette .

bah c est pour amelioré son français a faire des rapports . Et puis comme ça , grace a lui ça tourne

Estimant l’intégrité physique de son fils menacée, le père a franchi la main courante pour lui porter assistance avant d’être agressé.

Les faits, graves, remontent à dimanche dernier. Ils se sont produits sur le terrain 3 du stade de la Fontaine à Joigneau, à Malesherbes, après que l'arbitre a décidé d'arrêter à un quart d'heure de son terme la rencontre de championnat U19 DH entre le club local et Saint-Pryvé\Saint-Hilaire.
« J'ai vraiment eu peur pour lui »

Tout est parti d'un carton rouge infligé à un joueur de Malesherbes, rapidement suivi d'une demande d'explication de Jérémy Michelin, son coach, auprès d'Aurélien Chevy (19 ans), le directeur de jeu. « Le ton est monté entre les deux, et face à l'attitude agressive de l'éducateur, l'arbitre a choisi de siffler la fin des débats », indique Emmanuel Jémili, l'entraîneur pryvatain, aux premières loges de ce triste spectacle. Estimant « l'intégrité physique de (son) fils menacée », Marcel Chevy, le père de l'arbitre et son tuteur en arbitrage, a alors franchi la main courante pour lui porter assistance. Sans toutefois pénétrer sur le terrain, selon plusieurs témoins contactés hier. Dans la foulée, il a été pris à partie par une petite frange du public et même « étranglé », comme il nous l'a confirmé en ce milieu de semaine. Alors même qu'un dirigeant malesherbois, présent sur place dimanche, nous a soutenu le contraire, hier matin.

« J'ai vraiment eu peur pour lui », affirme, de son côté, Emmanuel Jémili. « Il a été tenu longtemps, il était rouge écarlate. J'ai franchement cru qu'ils allaient le tuer. Il a fallu qu'une de mes accompagnatrices intervienne pour les séparer », poursuit le technicien de Saint-Pryvé, qui évoque « une ambiance malsaine dès le début du match ». Et qui assure avoir craint pour « la sécurité de (ses) joueurs » au moment de l'agression de Marcel Chevy. « Je me suis dit : "on va se faire défoncer". Je les ai regroupés en leur demandant de ne plus bouger et de ne regarder personne. On est resté un bon quart d'heure au milieu du terrain comme ça à attendre que le calme revienne ». Ce qui a fini par arriver, en partie, grâce à l'intervention de la gendarmerie, appelée par Claude Zimmerman, le délégué de la rencontre, « qui ne voyait pas d'autres solutions ».
« Pour lui, l'arbitrage
c'est fini »

Ces incidents, qui n'amélioreront pas l'image déjà bien écornée du football, ont été étudiés, hier après-midi, par la commission de discipline de la Ligue du Centre. Une confrontation des différents protagonistes devrait vite suivre. Mais la décision d'Aurélien Chevy est déjà prise. « Pour lui, l'arbitrage c'est fini », révèle son père qui a déposé plainte à la gendarmerie de Malesherbes. « On va l'accompagner, on ne va pas le laisser tomber », fait savoir Jacky Fortépaule, le président du district du Loiret.

[align=center]"L'arbitre doit être invisible et présent"[/align]
VOCATION - Dans le cadre des 12es Journées de l'arbitrage (du 23 octobre au 3 novembre), La Poste, parrain de l'événement, a organisé mardi une grande soirée en l'honneur des hommes en noir. L'occasion pour d'autres experts des jeux humains (sociologues, psychothérapeutes...) de livrer leur vision de l'arbitrage. Extraits.

Nathan Stern (sociologue) :
"Pour régler des contextes sociaux où on ne se comprend plus, où on ne sait plus ce que l'on fait ensemble, j'utilise souvent la métaphore du jeu pour remettre de l'ordre. Un jeu avec des règles un terrain et un arbitre. Quand le cadre est posé et clair, il est respecté. Même lorsque l'on travaille avec des enfants. Et dans ce contexte, l'arbitre est le garant du cadre. Car il existe un paradoxe : on joue pour gagner et ça peut faire parfois oublier le jeu."

Frédéric Fréry (professeur en management stratégique) :
"Dans l'entreprise, il n'y a pas vraiment d'arbitre dans le sens de 'celui qui fait respecter la règle'. Généralement, l'arbitrage vient de l'extérieur, et en cas de conflit ou d'urgence (prud'hommes, commissaire aux comptes...). Pire, dans le marketing, la stratégie gagnante de celui qui veut remporter un marché consiste souvent à changer les règles, ce qui n'est pas possible dans le sport... Finalement dans le monde de l'entreprise, le seul arbitre est le client, celui qui décide s'il est prêt à payer le prix pour votre produit ou pas. Il faut donc le séduire."

Isabelle Constant (psychothérapeute) :
"Dans mon métier, je reçois souvent des gens qui sont en compétition avec les autres, et soit ça les rassure ou soit ça les rend malheureux. Pourtant, ils oublient quelque chose d'essentiel : pour être en compétition avec quelqu'un, il faut que cette personne soit au courant, il faut qu'il y ait un début et une fin à cette compétition et des règles. Au quotidien, chacun a un arbitre intérieur lorsqu'il s'agit de faire les choix importants de nos vies."

Philippe Bilger (magistrat) :
"Parler des arbitres est un peu étrange pour moi, car je me suis souvent surpris à vitupérer contre eux lorsqu'ils prenaient des décisions contraires aux équipes que je supporte. L'arbitre est celui qui met de l'ordre dans le chaos, qui est invisible et présent. La justice remplie parfois ce rôle lorsqu'elle sanctionne mais parvient aussi à apaiser le débat. Ce n'est jamais simple. Chacun arbitre le jeu de sa vie, et c'est dans ce contexte, la faculté d'assumer le mieux possible l'honneur d'être un homme."

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S’ils sont trop souvent la cible d’incivilités, ils gardent une belle cote dans le cœur des Français, selon le sondage annuel La Poste/Sofres. Amour l’arbitre !

S'ils ne les envient pas toujours, les Français ont du respect pour les arbitres, soit quelque 150.000 volontaires qui officient au sein du mouvement sportif. Le baromètre annuel « Les Français et l'arbitrage » le confirme : trois personnes sur quatre ont un regard positif sur les serviteurs d'une fonction réputée « de plus en plus difficile » pour 91 % des sondés.

Car il y a là un paradoxe propre au sport : le respect de l'arbitre s'arrête trop souvent là où commence l'aire de jeu ! Les chiffres communiqués par la Fédération française de football sont éloquents : durant la saison 2012-2013, 11.463 matchs officiels, tous niveaux de compétition confondus, ont été concernés par un incident au moins, pour 363 rencontres arrêtées.
On relevait, sur la même période, 4.746 agressions sur les arbitres eux-mêmes, dont 422 agressions physiques et 827 menaces ou intimidations. Des chiffres en très légère diminution par rapport à la saison précédente, mais qui traduisent tout de même un vrai malaise.
En cause dans cette persistance de l'incivilité dans le football, le comportement des joueurs est montré du doigt par 76 % des sondés, suivi de près par le comportement des supporters (66 %).

Des dirigeants pas toujours exemplaires

Le constat est lucide, même si l'irrespect de l'autorité arbitrale est un mal plus profond, et l'exemplarité que l'on serait en droit d'attendre du haut niveau n'est pas toujours au rendez-vous.
En Ligue 1 de football, il n'est plus guère d'après-match où les entraîneurs ne fustigent pas une décision d'arbitrage, rempart commode pour expliquer la médiocrité d'une performance.
Dans le Top 14 de rugby – un sport dans lequel l'arbitre n'était jamais contesté naguère – la remise en cause vient désormais de certains dirigeants, qui n'hésitent plus à franchir le pas. La professionnalisation et l'argent sont peut-être les moteurs du développement, mais ils ne favorisent pas la sérénité.
Redonner à l'arbitre la place respectable qui lui revient : l'enjeu est d'autant plus important qu'il serait dangereux de décourager trop de vocations. Le respect du corps arbitral, un élément à part entière de l'éducation, et de l'esprit sportif !

Baromètre annuel « Les Français et l'arbitrage » : étude portant sur 1.008 individus âgés de 15 ans et plus, représentatifs de la population française, réalisée en ligne du 31 août au 2 septembre 2013.
Éric Richard

La pépite de l'arbitrage français a été mise sous le feu des projecteurs après ses décisions prises lors du classico entre l'OM et le PSG. Portrait.

Par Alexandre Borde et Alexandre Ferret.

Il est l'homme de la discorde. Celui par lequel le scandale est arrivé, celui qui a été pris en grippe par les supporteurs, observateurs et commentateurs. Clément Turpin n'en était pourtant pas à son premier match de Ligue 1 lorsqu'il a arbitré le classico entre l'OM et le PSG, le 6 octobre dernier. À son actif, une finale de coupe de France, des matches de Ligue Europa, deux "Olympicos" entre l'OL et l'OM, etc. Malgré son jeune âge, 31 ans, Clément Turpin a de la bouteille. Mais sans un OM-PSG ou un PSG-OM dans les jambes et le sifflet, la bouteille reste toujours à moitié vide...

Ce 6 octobre 2013 marquera - à n'en pas douter - le tournant de sa carrière. Du moins sur le plan médiatique. Il faut dire que Clément Turpin a tout fait pour s'attirer les foudres du public et des spécialistes. Bilan de la rencontre : un stade Vélodrome chauffé à blanc, six cartons jaunes sortis, une expulsion (Thiago Motta), deux penalties sifflés - un de chaque côté - et une victoire parisienne à l'arrivée... Suffisant pour déclencher la polémique. S'ensuit un "Turpin bashing" relayé sur les réseaux sociaux, qui lui dédient même un hashtag répondant au nom de "#TurpinFacts", et soulignant l'excessive sévérité dont Clément Turpin a fait preuve lors de la rencontre la plus "chaude" de l'année.
Records

Trois semaines plus tard, le Bourguignon reprend son sifflet, samedi à 20 heures, pour officier dans un match moins "exposé" : Reims-Bastia. L'occasion de repartir sur de bonnes bases. Sereinement. Et surtout d'éviter de griller celui qui incarne presque à lui tout seul l'avenir d'un arbitrage français en désuétude malgré la prometteuse nomination de Pascal Garibian à la tête de la Direction technique de l'arbitrage (DTA). Car du haut de ses 31 bougies, Clément Turpin est un vrai petit génie du sifflet. Jadis la "propriété" du mythique Alain Sars, tous les records de précocité appartiennent désormais au natif d'Oullins, en Rhône-Alpes.

Premier sifflet à 15 ans, premier match en Ligue 2 à 25 ans, le Graal de la L1 l'année suivante. Une surprise ? Pas vraiment. "Clément a rapidement endossé la fonction d'arbitre, si bien que je n'ai que de vagues souvenirs de lui en tant que joueur de champ", rapporte Yannick Chandioux, ex-joueur de Gueugnon dans les années 1990 et actuel entraîneur du club amateur de Montceau-les-Mines, qui a côtoyé Clément Turpin dès ses débuts. Le 16 août 2008, il débarque pour la première fois sur une pelouse de Ligue 1 lors de Caen-Valenciennes (3-1). Il lui faudra une saison pour intégrer le gotha tricolore, une de plus pour devenir le meilleur Français et une autre pour être récompensé par sa hiérarchie. Le 14 mai 2011, il arbitre la finale de la Coupe de France entre Lille et Paris - 1-0 pour le Losc - et, dans la foulée, il est nommé par l'UEFA pour la première fois arbitre international. Clément Turpin a alors 29 ans et devient le plus jeune arbitre de l'histoire à officier à un tel niveau.

À cette époque, tout le monde est unanime. Son empathie, son aisance, sa pédagogie et le sang-froid qu'il dégage sur le pré séduisent. La presse en fait dès lors son petit chouchou. Jusqu'aux joueurs ! En 2011, à l'issue du match Sochaux-Montpellier, le défenseur doubiste Damien Perquis déclare même : "Clément Turpin est un des très grands futurs arbitres européens. Voire mondiaux !" Le garçon a le vent en poupe et sent alors la brise de la célébrité montrer le bout de son nez. Mais le futur très grand de l'arbitrage garde les pieds sur terre. En parallèle de son emploi du temps très chargé aux quatre coins de la France, Clément Turpin reste licencié à son club de toujours, Montceau-les-Mines. Toujours dans cette démarche de garder le contact avec la réalité de son métier, il devient conseiller technique régional (CTRA) auprès de la Ligue de Bourgogne. Former, transmettre et promouvoir son métier n'ont jamais été un problème pour le gamin d'Oullins.

Sacerdoce

Il se déplace régulièrement à la rencontre de jeunes arbitres dans des petits clubs de régions. Il lui est même arrivé d'expliquer son métier et sa vision à des collégiens. En mai 2013, il explique aux élèves de 6e et de 5e du collège Aragon de Châtenoy-le-Royal : "L'arbitre doit aussi prendre en compte le contexte de la faute et ensuite assumer ses responsabilités, avec parfois le risque de commettre une erreur." Celui qui présente Stéphane Lannoy comme le meilleur arbitre encore en activité et qui a toujours tenu à saluer ses formateurs et toutes les équipes qui l'ont accompagné sait qu'il n'est pas à l'abri d'une bévue. Il connaît le fragile équilibre nécessaire à un arbitrage juste. Avant d'arbitrer la finale de la Coupe de France, il déclarait même : "Mon seul souhait pendant cette finale, c'est qu'on ne parle pas de moi." Une déclaration qui fait écho au principe selon lequel un bon arbitre est un arbitre qui se fait respecter sans être vu.

Pourtant ces dernières années, Clément Turpin n'a pas réellement tout fait pour rester discret. Sur ces deux dernières saisons, son nombre moyen de cartons jaunes sortis a augmenté, mais c'est surtout le nombre de biscottes rouges qui crève le plafond. La saison dernière, il a sorti pas moins de 17 cartons rouges en 25 matches, avec une "perf'" en mars dernier de cinq expulsions dans le même match, lors d'une autre rencontre connue pour la passion qu'elle suscite, Bastia-Ajaccio. Une fois de plus, ce match avait fait débat. À croire que Clément Turpin choisit ses matches...

Je la trouve excellente!!! (Ma femme moins)

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Ca ne vaut pas Robert Wurtz tout de même

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PSGdu11 a écrit :Ca ne vaut pas Robert Wurtz tout de même

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lol... Limite il a un orgasme en mettant un carton jaune...

Et qui te dit que moi quand j'ai mis des cartons je ne jouissez pas en interne!!!

Ah d'accord... toi aussi donc, mais toi, tu avoues tes orgasmes...

Eh ben .... Turpin doit décharger souvent ....