[CLUB] - STADE DE REIMS

[spoucknick00]

ùais arreter avec cette info de merde sa me soul de lire ça

[PSGdu11]

[i]Auteur d'une saison remarquée, le milieu de terrain de Reims, Grzegorz Krychowiak (23 ans, 29 matchs et 3 buts en Ligue 1 cette saison) serait suivi par Lyon, selon le journal polonais Fakt.
Formé par les Girondins de Bordeaux, l'international polonais est lié au club champenois jusqu'en 2015.

Euh ... j'avais déjà mis cette info plus haut .. :siflotte:

[PPDMdu29]

je sait mais si sa embète spouck faudrai la remettre encore une foit

[PSGdu11]

Ah ... ok .. vu comme ça ...

Il est jeune, puissant et Polonais, et a déjà joué dans les prestigieuses formations de Bordeaux, Nantes et Reims, mais n'est pourtant pas le joueur le plus connu de la Ligue 1. Pourtant, en inscrivant le pénalty de la victoire face à Lyon dimanche (1-0), Grzegorz Krychowiak s'est fait un peu mieux connaitre du grand public. Et selon le journal polonais Fakt, le joueur formé à Bordeaux intéresserait fortement … l'Olympique Lyonnais, épaté par le très athlétique milieu de terrain. Performant en Ligue 2 avec le Stade de Reims puis le FC Nantes, le milieu défensif de 23 ans est en train de prouver avec le club champenois, et l'équipe de Pologne, qu'il a le niveau pour aller voir plus haut que chez le quinzième de Ligue 1. Sous contrat jusqu'en 2015, « Krycho » a déclaré : « Attendons la fin de la saison. Si l’offre est bonne pour moi et pour le club, alors on pourra la considérer ». Si une proposition du club rhodanien se présentait devant le Polonais, il sera difficile pour le promu rémois de conserver un de ses meilleurs éléments.

[spoucknick00]

il est sous contrat , on s en fou .

[PSGdu11]

il est sous contrat , on s en fou .

Il peut partir avant la fin de son contrat , il en a le droit : et pour peu que le SDR ait besoin d'argent frais .

[spoucknick00]

reims n a pas besoin d argent , pas de bol

[PPDMdu29]

se soir au stade francis le blé vous entendrez dans les tribunes un rémois gueulé " krycho je t'aime grace a toi tout les weekend je craque mes slip et sa enmerde PPDM , 'culé ne vas pas a lyon "

le graal serait un but de dudule quand mème

[JJacq]

[babar051]

Diego : «Rien ne tombe du ciel»
Si Reims (15e) vient de prendre dix points en cinq matches, c'est notamment grâce à son milieu offensif Diego, excellent à Evian-TG (2-2) et contre Lyon (1-0). «Mais c'est surtout grâce au travail», nous explique le Brésilien.
Reims et diego (ici à gauche) se sont bien relevés depuis cinq matches. (AFP)



La saison du Stade de Reims est intimement liée à ses duels avec le PSG. Cinquième avant la 9e journée, il avait perdu au Parc (0-1) et n’avait plus gagné avant un déplacement à Nancy (2-1, 24e journée). «Ça nous avait tellement plombés ce match au Parc», nous souffle Diego qui avait d’ailleurs manqué un penalty lors de cette rencontre. Le clin d’œil du destin, c’est que le club champenois revit depuis quelques semaines et… une victoire contre le PSG un soir glacial de début mars (1-0). «Je pense que cela a été le déclic pour notre deuxième partie de saison. Dans le jeu, ça allait mais nous attendions un match référence. Rien ne tombe du ciel. Nous avons beaucoup travaillé et ça a enfin payé», raconte le Brésilien.
«Je joue sur le côté gauche mais le coach me donne de la liberté. De toute façon, tant que je joue, je suis content. Bon, je ne peux pas être gardien, hein !» Cette saison très irrégulière de Reims correspond finalement aussi à la forme de son milieu offensif. Très en vue en septembre et octobre, il a décliné avant de revenir très fort notamment sur le terrain de l’Evian-TG (2-2) et contre Lyon (1-0). «Je n’ai rien lâché à l’entraînement et je me sens bien. La confiance monte… Je joue sur le côté gauche mais le coach me donne de la liberté. De toute façon, tant que je joue, je suis content. Bon, je ne peux pas être gardien, hein !» se marre-t-il depuis la Bretagne où son club se trouve en stage depuis mercredi ! C’est que si le Stade de Reims vient de prendre dix points en cinq journées et possède quatre longueurs d’avance sur la zone rouge, il ne s’estime pas sauvé pour autant.
Reims, en stage commando en Bretagne, veut absolument les trois points

Hubert Fournier a donc décidé de partir très tôt en direction de Brest pour préparer un match décisif pour le maintien. «Cela soude le groupe de passer ces moments ensemble. C’est un bon choix, estime l’ancien joueur de Tours. On ne sort pas vraiment car il pleut tout le temps et qu’il n’y a pas grand-chose à faire ici. Mais on se relaxe ensemble, on mange au resto de l’hôtel en groupe. La différence en cette fin de saison, c’est chaque joueur de l’effectif qui la fera !» Lors de l’aller (0-0, le 24 novembre), personne n’avait fait la différence justement : «C’était un match difficile. C’était fermé, nous n’avions pas eu d’occasions. Samedi, nous sommes là pour les trois points. On veut vraiment la victoire.» La terrible forme de Brest (19e), qui vient de perdre quatre matches de suite, l’incite à l’optimisme.

si brest c bien préparer pour le match nous aussi sa va etre chaud

[spoucknick00]

se soir au stade francis le blé vous entendrez dans les tribunes un rémois gueulé " krycho je t'aime grace a toi tout les weekend je craque mes slip et sa enmerde PPDM , 'culé ne vas pas a lyon "

le graal serait un but de dudule quand mème

non le graal serait un but de krycho et la au taff ...tout le monde va vouloir rasé les murs

[PSGdu11]

http://www.ouest-france.fr/sport/une_sp ... 4_actu.Htm" onclick="window.open(this.href);return false;

Devine qui a marqué le premier but ?

C'est quand même l'ironie de la soirée

[JJacq]

Mais non, je l'avais dit que Fauvergue sauverait Reims en deuxième partie de saison.

[PSGdu11]

8 mois qu'il n'a pas marqué ... pour peu qu'il l'est marqué sous les yeux de Spouck ...

[babar051]

Brest - Reims : 0-2 !
Stade Francis Le Blé

Arbitre : Mr Ennjimi
Buts pour Reims : Fauvergue (28ème), Diégo (77ème)

Stade de Reims : Agassa - Mandi - Weber - Fofana - Signorino - Ramaré (Ca 68ème) - Krychowiak - Devaux - Glombard (Ayité 46ème) - Fauvergue (Ghilas 82ème) - Diego

Les Stadistes sont allés l'emporter en Bretagne 2-0 grâce à des buts de Fauvergue (28ème) et de Diego sur coup-franc dans le dernier quart d'heure (77ème).
Les Rouge et Blanc font ce soir un pas de géant vers le maintien en reléguant les Brestois à 8 points et les Nancéens à 6. Encore un effort et le maintien sera dans la poche.

Il ne fallait pas être en retard à Le Blé ce soir, dès la 12ème... seconde, Raspentino se présentait seul face à Agassa mais l'Aigle du Togo remportait son duel. Brest poussait et les Stadistes étaient retranchés dans leur moitié de terrain. Les cinq premières minutes montraient aux hommes d'Hubert fournier qu'il faudrait faire preuve de valeurs pour ramener quelque chose de leur déplacement.

Peu à peu les Champenois prenaient le match en main - faisant preuve d'une grande maîtrise technique - et après quelques incursions dans la défense adverse, ils ouvraient logiquement la marque suite à un centre de Signorino sur Fauvergue qui concluait victorieusement du pied gauche (28ème).

La suite de la première mi-temps ne variait pas, les Stadistes étaient vraiment les plus forts sur le terrain et l'avantage à la pause était on ne peut plus logique.

La seconde période était plus difficile. Les Bestois rentraient avec d'autres intentions et Anthony Weber et ses partenaires souffraient beaucoup. Les ballons dans la surface étaient nombreux et les vagues Bretonnes incessantes. Grougi était à deux doigts d'égaliser esseulé dans la surface (59ème) et Raspentino dévissait sa frappe face à Agassa (67ème).

Sur une de leurs rares sorties de la seconde période, les Stadistes bénéficiaient d'un coup-franc à la limite de la surface. Diego l'enroulait et mettait sa balle au ras du poteau pour le plus grand bonheur de ses supporters (77ème).

La fin du match était parfaitement maitrisée et Reims repartait de Brest avec trois points supplémentaires dans la course au maintien.

Conjuguée aux différents résultats, cette victoire - qui comptera elle... - permet au Stade de Reims d'être treizième ce soir. Bravo à tous !

[babar051]

Didier Perrin : Le maintien se rapproche
C'est une victoire qui va énormément compter car elle nous rapproche grandement du maintien et met la tête sous l'eau à Brest. On a vu une équipe combative qui a su tenir le score en faisant preuve d'abord de talent puis ensuite de courage. On a retrouvé les valeurs du début de saison et on en vient presque à regretter ce trou du milieu de championnat car on pourrait être vraiment tranquille. On ne va pas s'enflammer mais on peut espérer une belle fin de saison si on continue à jouer de la sorte.

Jean-Pierre Caillot : Encore quelques points
On est évidemment ravis. J'avais volontairement un peu provoqué les joueurs en leur disant que je les attendais à Brest car après les belles victoires il y avait eu souvent des résultats négatifs et je suis très content qu'ils m'aient donné tort ce soir. Ils ont fait une prestation aboutie face à une équipe qui aurait pu égaliser.
Je suis particulièrement heureux pour nos deux buteurs. Pour Nico fauvergue, on lui disait depuis des semaines que la meilleure réponse viendrait du terrain. Il l'a fait et de quelle façon car son but est très important et très beau dans une belle prestation d'ensemble de sa part. Quant à Diego, il met son premier coup-franc et on l'avait fait venir pour sa qualité de pied. C'est très positif. L'équipe a été conforme à ce que l'on voit depuis plusieurs semaines, solidaire, courageuse, et elle mérite pleinement son résultat ce soir.
Il nous manque encore quelques points pour obtenir le maintien. Il y a quelques mois, alors qu'on se faisait un peu tancer, j'avais fais le parallèle avec notre première année de Ligue 2 où j'avais dit qu'on croyait en notre staff et en nos joueurs et où on avait finalement fini 10ème après avoir été 19ème.
De la même façon, cette saison on a toujours cru dans les gens qu'on a mis en place et ce soir ils nous donnent raison de la confiance qu'on leur a témoignée. A eux d'aller le plus loin possible pour rendre très heureux les supporters Rouge et Blanc.

Hubert Fournier : Une belle soirée
C'est une belle soirée dans la continuité de ce que l'on fait depuis quelques semaines. C'est important car cette continuité nous a manqué en milieu de championnat. C'est l'apprentissage. On voit que notre groupe progresse et qu'il est plus compétitif qu'il y a quelques temps. C'est intéressant car on évolue. On est très heureux pour Nico car la seule réponse c'est le terrain.
Il a fallu faire le dos rond en seconde période mais on a plutôt bien manoeuvré dans ce match. On se rapproche du maintien mais rien n'est fait.[/quote]

[babar051]

Reims tout bon pour le maintien
Sous l'orage brestois, Nicolas Fauvergue, y est allé de son petit but. Son 2e de la saison. L'ancien Sedanais revient en forme au bon moment.

FOOTBALL (L1). Au terme d'un match maîtrisé, le Stade de Reims a obtenu hier à Brest un succès peut-être décisif pour le maintien en s'imposant 2-0. Quatre victoires en six matches, la dynamique est excellente.

LE Stade de Reims n'avait plus aligné quatre matches sans défaite depuis son bon passage entre la 3e et la 6e journée : succès sur Sochaux, Montpellier et Nancy et nul à Toulouse. Avec la victoire logiquement acquise hier à Brest, il adopte la même cadence et réussit son premier clean sheet (aucun but encaissé) à l'extérieur depuis Saint-Etienne (0-0) le 30 septembre.
Tous ces indices traduisent une et une seule chose : le Stade maîtrise de nouveau son sujet. « Il n'y a pas de raison de ne pas penser à une fin heureuse et à donner beaucoup de plaisir », évoquait le président Jean-Pierre Caillot.

Le contexte
En semaine, les Brestois se sont trop époumonés à certifier qu'un nul ne serait pas dramatique pour qu'il soit permis de croire le contraire. Les Bretons, en manque cruel de sérénité, avaient besoin d'une victoire. La glissade, après cinq mois sans succès à Le Blé, devient trop dangereuse et le risque de retrouver la Ligue 2 après trois saisons en élite plombe l'ambiance.
Les Stadistes avaient le cœur plus léger. Le mini-stage à Lannilis, ponctué vendredi d'une soirée dans une crêperie où ils étaient les seuls admis, les avait mis dans les meilleures conditions pour se rapprocher encore du maintien.

La tactique
Martins récupérait son meilleur gardien Thébaux et son prometteur mais irrégulier défenseur central, Martial. L'ex-Bastiais repoussait sur le flanc droit de la défense l'ancien Sedanais Ismaël Traoré, stoppeur de formation.
En revanche, Chafni n'est pas revenu en grâce et a débuté sur le banc. Le milieu brestois en a souffert et a laissé celui du Stade prendre le dessus.
Hubert Fournier a choisi de porter l'estocade après la pause en faisant entrer un offensif supplémentaire (Ayité). Les espaces dans le dos de la défense étaient trop beaux à exploiter, surtout avec un Fauvergue monopolisant à lui seul les deux centraux bretons par son travail de fixation.

La physionomie
Sous la pluie continuelle de Le Blé, le Stade a dû négocier un premier orage. Dès les premières minutes, Brest a exercé un pressing de folie mais il ne l'a pas tenu au-delà du premier quart d'heure. Les Stadistes ont tremblé sur la poussée de Benschop (1re) puis, plus rien jusqu'au petit trou d'air de l'heure de jeu.

Autour de ces deux points chauds, un match négocié avec aisance techniquement et tactiquement : une défense solide malgré un Weber parfois limite, un milieu conquérant, des ailiers virevoltants et un Fauvergue travailleur.
Sa course pour couper le centre de Signorino est un modèle du genre. Pour couronner cette œuvre collective, Diego a score sur coup franc direct. C'est la première fois que Reims, plutôt désolant de maladresses dans cet exercice, marque sur un coup de pied arrêté direct.

Le fait
À la 18e seconde, Charlie Benschop a été à deux doigts d'effacer le Lillois Nolan Roux des tablettes. L'ancien Brestois avait marqué après 21 secondes contre Nancy en janvier. Le Néerlandais du SB29 aurait fait mieux sur un service de Sissoko si Agassa n'avait pas repoussé du genou. Un arrêt déterminant…

Le chiffre : 13
Avec ce 2e succès loin de Delaune, le Stade remonte à la 13e place à égalité avec Valenciennes qu'il devance à la différence de buts. Il s'agit du meilleur classement des Rouge et Blanc depuis… le match aller. Avec le 0-0 concédé aux Bretons à Delaune, les Stadistes étaient passés du 13e au 15e rang.

Paroles de coaches
Corentin MARTINS (Brest) : « On a essayé de presser fort d'entrée mais on ne l'a pas fait assez longtemps. Même à 0-1, je croyais que l'on pouvait encore gagner. On a dominé la seconde période mais il faut savoir marquer. On n'a pas cadré par manque de chance et de réussite mais aussi par manque de sérénité. »
Hubert FOURNIER (Reims) : « Je suis satisfait du résultat, des attitudes et des comportements. C'est un bon résultat chez un concurrent direct. On progresse de match en match. C'est un pas vers le maintien mais il n'est pas encore suffisant. »

9 : Le Stade Brestois a concédé hier sa 9e défaite en 13 matches joués en 2013, la 5e consécutive.
2 : Le Stade de Reims a décroché son 2e succès à l'extérieur. La première remonte au 9 février (1-2 à Nancy)

[spoucknick00]

8 mois qu'il n'a pas marqué ... pour peu qu'il l'est marqué sous les yeux de Spouck ...

j y etais dans la tribune et le pire faut qu il marque devant nous ...on etait tous sur le cul et on n en croyait pas nos yeux . Heureusement que brest a des ecrans geant pour voir les ralentis sinon on n y croyais pas

on l a applaudit quand meme , mais ce con il en a rajouter et forcement sa nous a pas plut :siflotte:

il est pas venu a la fin du match comparer a plein d autre joueur qui sont venu nous donner leur maillot . Meme le president de reims est venu nous remercié d avoir ete la . C etait festif hier soir , j ai plus de voix mdr

[PSGdu11]

mais ce con il en a rajouter et forcement sa nous a pas plut

du genre : ? à ton égard ?

[spoucknick00]

non il faisait trop froid ...mais en parole on s est bien lacher comme d hab

[babar051]

Fauvergue, le grand pardon ?

Samedi à Brest, Nicolas Fauvergue a mis un terme à 911 minutes de stérilité.

FOOTBALL (L1). Buteur et performant dans le jeu à Brest, Nicolas Fauvergue a fait taire les critiques. Au moins pour un soir et ça le soulageait déjà un peu à l'évidence.

IL en faudra plus pour recoller tous les morceaux. « Entre les supporters et moi, ce n'est pas vraiment une histoire d'amour », admet-il d'ailleurs. Son but à Brest n'apaisera pas tout le monde mais il sera difficile à ses plus « fidèles » détracteurs de ne pas en reconnaître l'importance à l'heure du bilan final.

Samedi, Fauvergue a fait un pas vers les supporters du Stade de Reims. Lui qui avait laissé passer l'occasion d'une réconciliation totale en ne distribuant pas la baffe qu'il méritait à David Beckham. À Delaune, le Spice Boy avait omis de rendre un ballon. Il s'est épargné un rouge mais sa cote de popularité aurait grimpé.

« Pas une revanche »

La courbe a attendu pour s'inverser. Son mouvement s'est amorcé sur la pelouse du stade Francis-Le Blé. À l'unisson de tous ses joueurs, Hubert Fournier saluait la prestation de son avant-centre : « On a vu le Nico Fauvergue qu'on attendait. Il a marqué mais il n'a pas fait que ça. Il a été précieux dans ses déplacements, dans la conservation du ballon pour faire remonter le bloc. Il a été un vrai point de fixation. »
Le coach le comprendra aisément mais c'est surtout la réalisation de la 28e qui a retenu l'attention. Ce but du gauche sur un appel judicieux auquel Signorino a répondu à la perfection, a mis fin à 911 minutes de stérilité. L'équivalent de 10 matches plein, c'est long pour un garçon recruté pour marquer. « Je n'ai pas vécu ce moment du but comme une revanche parce que j'ai déjà démontré dans le passé que je savais marquer. Mais, c'est sûr que je suis soulagé même je n'avais pas eu autant de minutes de jeu que ça non plus. »
On pourra lui rétorquer qu'il n'avait pas forcément bien négocié les quelques minutes grappillées de ci de là mais il convient plutôt d'insister sur le caractère d'un garçon qui n'a jamais lâché : « Je me suis accroché. J'ai travaillé pour être prêt à répondre quand on ferait appel à moi. »
L'heure est venue. À la causerie d'avant-match où Hubert Fournier ne lui a rien caché de l'importance de la carte qu'il abattait. Courtet blessé, il était le recours naturel même si lui pense - vraiment ? - qu'il pouvait être fait appel à d'autres. Tout à son bonheur, Fauvergue n'oublie d'ailleurs pas de saluer le grand absent, Courtet sans qui le Stade a gagné pour la première fois : « J'ai une pensée pour lui. C'est lui qui joue d'ordinaire. Moi moins mais c'est la vie d'un groupe. »
Une belle mentalité qui complète le geste au moment de célébrer le but. Fauvergue est allé saluer la quarantaine de supporters rémois dans la tribune : « Ils font 7 ou 8 heures de bus pour venir nous soutenir, c'est normal de les remercier. Je veux leur faire comprendre que je suis là pour donner le meilleur de moi, pour aider le club. Il ne faut pas s'arrêter à ce qui a été dit ou fait, il faut aller de l'avant. »
Ce qui a été dit ou fait, ce sont les insultes au stade et les attaques en pleine rue. Au point que le joueur aurait un temps soufflé à ses dirigeants qu'il valait mieux ne plus le convoquer pour les matches à Delaune. Tant pis si sa fiche de paye en souffrait…
L'idée n'a pas fait son chemin. Fauvergue s'est engagé sur une autre voie. Celle du maintien qu'il situe à « 40 ou 41 points. Si on garde cet état d'esprit, on y arrivera sans problème ».

Caillot : « Il le méritait »
Toujours derrière son attaquant, Jean-Pierre Caillot était au moins aussi soulagé que le Béthunois samedi. « On lui soutenait le moral depuis des semaines. On a toujours pensé et dit que la réponse viendrait du terrain », assure le président, heureux du but et du reste : « Il a mérité son but. Sa prestation a été très aboutie. Si nos petits ailiers ont pu autant s’exprimer sur les côtés, c’est parce que Nico a fait son travail dans l’axe en monopolisant les défenseurs centraux. »

La phrase : « Il ne faut pas être les couillons qui restent à la porte »
De Hubert FOURNIER en réponse à une question concernant un maintien quasiment assuré. « On n’a jamais été aussi près », a juste concédé le coach stadiste. Une évidence complétée par un avertissement : « Il ne faut pas être les couillons qui restent à la porte regarder les autres passer. »
Traduit en langage mathématique de la Ligue 1, ç veut dire qu’il faut garder un œil dans le rétro et obliger l’autre à regarder déjà vers Valenciennes dimanche (17 heures) à Delaune.

L’OM vise Diego : info ou intox ?
Deux accélérations de Diego Rigonato avaient suffi aux Stadistes pour prendre la mesure d'un adversaire lyonnais terriblement impuissant.

FOOTBALL (L1). Elle ne fait pas encore de bruit dans le landerneau – tout proche de Brest – mais elle noircit déjà quelques lignes dans la colonnes « rumeurs » du prochain mercato d’été. Quelle est-elle ? L’annonce d’un intérêt supposé de Marseille pour Diego, le milieu de terrain du Stade de Reims. L’OM préparerait l’après André Ayew et le Brésilien serait ciblé. Comme le Toulousain Franck Tabanou. Si c’est vrai, ce n’est pas son match de samedi qui va calmer les appétits marseillais…

[spoucknick00]

la rumeur de diego

[babar051]

Diego : Le championnat n’est pas fini !
Diego était présent face aux médias ce mardi au centre d’entraînement des Thiolettes. Extraits.

La victoire à Brest, un but : un beau bilan
Je suis évidemment très content de la situation. Nous parvenons à gagner ce match important. En plus j’ai marqué, cela faisait longtemps que cela n’était pas arrivé. Surtout sur coup franc, car c’est quelque chose que j’attendais depuis un moment. Le staff me donne sa confiance, mes coéquipiers aussi. Franchement je me sens vraiment bien ici.

Décisif sur coup franc
Je ne me suis pas mis de pression avant de tirer. J’essaie surtout de me concentrer à faire du mieux possible : bien regarder le ballon, où je veux le placer. Après, j’arrive à le cadrer. C’est un joli but pour moi. Le coup franc est un exercice que je travaille beaucoup. Surtout en ce moment, il fait soleil, c’est encore mieux ! Mon modèle, dans ce type d’exercice, a toujours été Ronaldinho. Je travaille pour essayer de me rapprocher de ce qu’il fait.

Le classement du Stade de Reims
Le championnat n’est pas fini. Cela peut aller vite dans un sens comme dans l’autre. Il faut continuer à jouer comme nous l’avons fait les trois derniers matches. Si nous répètons ce type de prestation cela sera plus facile d’atteindre le maintien.

Le match face à Valenciennes
Ce sera un match compliqué. Valenciennes est une équipe solide. Mais nous sommes en confiance, le public à Delaune nous pousse beaucoup. Nous sommes d’ailleurs très fiers des supporters. Après, on va jouer notre match, et on fera le bilan à la 90e minute.

[babar051]

Reims à deux victoires du maintien
Le stage commando de Lannilis a provoqué un enthousiasme collectif qui s'est traduit par une victoire sans conteste à Brest.

FOOTBALL (L1). Après avoir flirté avec la zone rouge, le Stade de Reims est redevenu un solide et réaliste pensionnaire de Ligue 1. Qui, désormais, peut légitimement croire à son maintien.

On parie qu'il a retenu la leçon ? Auteur d'un début de saison canon, le promu avait fini par admettre qu'il s'était vu trop beau. Il en a trop bavé durant l'intégralité de l'automne et une bonne partie de l'hiver pour se croire arrivé, maintenant qu'il connaît un nouveau cercle vertueux. « On a fait un grand pas mais ce n'est pas encore suffisant », insistait d'ailleurs Hubert Fournier après le succès à Brest (2-0) samedi.
Le Stade a 37 points, évacué ses soucis internes au vestiaire, refilé la pression à d'autres mais « on n'est pas encore maintenu ».

De cette virée fructueuse chez des Bretons agonisants - et Landry Chauvin n'était pas seul responsable de cet état de fait -, il faut retenir les motifs qui disent que le Stade touche quand même au but. A commencer par l'état d'esprit d'un groupe qui a su refaire les efforts à temps. Il a réappris à s'engager après avoir touché le fond en janvier et plus encore lors de la seconde période à Montpellier. Le Stade a surtout appris à faire mal à ses rivaux, à punir leurs lacunes.

Le mini-stage à Lannilis a renforcé ce côté tueur. Théâtre dimanche du Tro-Bro Léon, le Paris-Roubaix breton, avec ses routes pas toujours bitumées, et des prochains Championnats de France de cyclisme, la cité finistérienne est un terrain fertile pour décupler le sens du don de soi, du sacrifice.
« On était en mode commando », confirmait Franck Signorino. « Reims a su être agressif dans les zones de vérité, surtout devant notre but », constatait aussi Brahim Ferradj, le Brestois.

« On se précipite moins »

« On n'a pas eu toute la maîtrise souhaitée », corrigeait Hubert Fournier en référence à la première occasion concédée à la 1re minute et au trou d'air d'un quart d'heure négocié à partir de l'entrée de Chafni (56e). Benschop d'abord (18e seconde) et Grougi (60e) auraient pu « changer la physionomie du match », poursuivait Fournier. « Mais, l'équipe a pris de l'expérience. Elle se précipite moins. »
Il n'y a pas si longtemps, à Annecy contre Evian ou à Lorient, les Stadistes ont gâché. La leçon a été retenue. « On est dans la lignée de ce qu'on a produit récemment », affirmait Aïssa Mandi. « Encore deux victoires et le travail sera fait. »

Le président Caillot faisait, à peu de chose près, le même calcul. « Tant qu'on n'a pas encore 42 points... », rappelait-il avant de verser dans le positif : « J'ai entièrement confiance dans le staff pour que l'équipe reste concentrée. Tout est réuni pour s'offrir une fin de saison heureuse où l'on pourra donner beaucoup de plaisir. »

Un happy-end qui le rajeunira de trois ans. « On se souvient de la première année en L2. On ne s'était pas désunis. Je souhaite que l'on puisse dire dans quelques semaines, comme à l'époque, qu'on a toujours été dans le vrai. »
Pour l'instant, chut, donc. Mais, on pourra commencer à le murmurer dimanche en cas de succès sur Valenciennes. À 40 points, on peut se lâcher un peu, non ?

[babar051]

Stade de Reims – EXCLU Ghilas : «Pourquoi partir ?»
Dans un entretien accordé à « But ! Reims », Kamel Ghilas a évoqué sa situation actuelle et son avenir. Morceaux choisis.

But ! Reims : Kamel, vous avez été neuf fois titulaire depuis le début du championnat. Est-ce que c’est un temps de jeu qui vous suffit ?

Kamel Ghilas : Non pas du tout. Ça ne me suffit pas mais on prend ce qu’on nous donne. J’essaye de travailler un maximum. Si j’ai ce faible temps de jeu cette saison, c’est à cause de mon efficacité, je n’arrive pas à marquer. J’ai des occasions, je fais des bons matches, mais ce n’est pas ça qui compte.

Dans quel état d’esprit êtes-vous ? Vous pensez peut-être à partir ?
Pourquoi partir ? Je suis là, avec le Stade de Reims, on a un objectif à tenir. Même si je ne joue pas comme je veux, je fais toujours partie du groupe, j’essaye d’apporter ma pierre à l’édifice. Il reste des matches et j’espère pourquoi pas marquer mon premier but lors de cette fin de championnat et rapporter des points à l’équipe.

Le coach vous explique ses choix ?
Le coach a ses choix. Parfois, il m’explique, parfois je ne vais pas le voir, parce qu’il n’y a pas besoin.

Vous comprenez ses choix ?
Comprendre, non. Il y a des moments où je ne comprends pas donc je vais le voir. Qu’il me donne des explications ou pas, c’est lui qui aura toujours le dernier mot. En tant que sportif, on se doit de respecter les choix du coach.