SDR-FCGB : les chiffres de la rencontre
Du jeu, de la détermination, des buts, le tout dans un match très propre au niveau de l’arbitrage. Revivez SDR-FCGB en chiffres…
3. Pour son troisième match en Ligue 1, François Letexier (27 ans), l’arbitre de la rencontre, a mené les débats de manière fluide et discrète. L’homme en noir, ou plutôt en jaune désormais, a sifflé 32 fois, distribué 4 cartons et privilégié l’esprit du jeu dans une rencontre propre.
3/4. Un trident d’enfer ! Impliquée dans trois des quatre buts rémois hier soir, la triplette Charbonnier-Bifouma -De Préville a été particulièrement incisive hier. Le premier nommé à la baguette, les deux flèches balayant inlassablement le front de l’attaque, le SDR sait faire parler la poudre !
7. Appelez le « Monsieur Offrandes » ! Hier, Nicolas De Préville a déposé un nouveau ballon, à partir d’un corner, sur la tête de son capitaine Aïssa Mandi, buteur plein de détermination. Une septième passe décisive cette saison, qui le fait grimper au 4ème rang des passeurs décisifs de la division.
15. Signe d’une forte volonté de faire trembler les filets, le SDR a tiré 15 fois au but hier (6 tirs pour Bordeaux), soit sa deuxième meilleure statistique dans ce domaine cette saison. Les Rémois ont uniquement plus mitraillé contre Nice (18ème journée) avec 18 tirs.
53. Repositionné latéral gauche, Diego Rigonato a été très performant. Véritable pendant d’Hamari Traoré dans la prise de couloir côté gauche, le brésilien a touché 53 ballons hier soir, ce qui en fait le Rémois le plus actif de la rencontre. Avec 14 ballons gagnés en outre, le numéro 11 n’a pas perdu ses repères à un poste qu’il avait occupé au début de sa carrière au Brésil…
100%. Quand Gaëtan Charbonnier marque cette saison, le Stade de Reims gagne ! Cela s’est vérifié contre Lorient, Angers et maintenant Bordeaux.
1976. Petit événement à Delaune hier. Le but du remuant Adam Ounas met un terme à une immense période de disette girondine dans la cité des sacres… Bordeaux n’avait en effet pas inscrit le moindre but à Delaune en championnat depuis Alain Giresse et un certain 2 octobre 1976…
[CLUB] - STADE DE REIMS
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Harry Roselmack a apprécié
Un invité de marque, samedi, dans la loge du président du Stade de Reims, Jean-Pierre Caillot : le journaliste et animateur de TF1, Harry Roselmack, grand sportif – il est ceinture noire deuxième dan de judo – n’a pas perdu une miette du plus beau match disputé cette saison par les Stadistes, et du carton plein réussi par les attaquants rouge et blanc. Le superstitieux Caillot lui a sans doute demandé de revenir dès qu’il le pourra...
Charbonnier aurait dû bénéficier d'un penalty
Depuis quand Reims n’avait plus battu Bordeaux aussi largement ? 46 ans. Un petit événement à Delaune samedi. La plus large victoire des Rouge et Blanc devant Bordeaux depuis le 19 août 1970. À l’occasion de leur retour dans l’Élite (obtenu à la faveur d’un nouveau passage de la D1 de 18 à 20 clubs), les coéquipiers d’Yves Herbet avaient également réussi à mener 2-0 à la pause. Une 3 e réalisation de Kuszowski dès la reprise (46 e ) avait définitivement consolidé le double avantage donné par l’ancien Sedanais (29 e ) puis le Yougoslave Dakic (32 e ).
Diego arrière-ailier, ça a donné quoi ? Pas mal. On ne peut pas dire que Diego a eu une tâche particulièrement compliquée pour sa première expérience d’unique dépositaire du couloir gauche stadiste. Le Pauliste a rendu une copie propre, sans avoir à prendre des risques offensifs. Avec Kankava et El Kaoutari à proximité, Diego n’a jamais été débordé. Si son placement a parfois été hésitant, il s’est permis une ou deux interventions en couverture « à la Signorino ». Sa qualité technique est un atout évident pour ressortir proprement les ballons.
Reims avait-il déjà mené par plus d’un but en 1 re mi-temps à Delaune ? Non. C’est la première fois cette saison que les Rémois ont regagné le vestiaire de Delaune nantis d’une avance supérieure à un but. Même contre Lorient, l’autre large succès de cet exercice, ils ne disposaient pas d’un large avantage après 45 minutes. Il faut remonter à la 28 e journée de la saison précédente pour trouver un écart bien prononcé. Contre Nantes, Bourillon puis Mandi avaient fait la différence en deux minutes (14 e et 16 e ). Comme le technicien stadiste se nommait alors Jean-Luc Vasseur, cela signifie qu’il s’agit également d’une première pour Guégan dans sa carrière d’entraîneur.
Charbonnier a-t-il fait du cinéma dans la surface bordelaise ? Non. Ou alors, juste un peu. Pour bien marquer par sa chute que Yambéré s’était rendu coupable sur lui d’une action répréhensible (16 e ). Laquelle exactement ? Avoir joué avec ses bras et ses mains afin d’empêcher le grand Gaëtan de progresser vers le but de Bernardoni. Cela méritait-il penalty ? Non, estima M. Letexier, qui, pour la même faute commise au milieu du terrain, sanctionnera Chantôme quelques minutes plus tard...
Guégan : « Un match abouti»
Olivier GUÉGAN (entraîneur de Reims) : « C’est le genre de soirée que j’aurais aimé vivre plus souvent. Le match de ce soir est très abouti, dans de nombreux domaines, malgré le terrain compliqué. En mettre quatre contre Bordeaux, ce n’est pas mal. Ça nous rassure et on peut y gagner en confiance, mais n’oublions pas que rien n’est encore fait.
Il reste dix matches. J’ai senti dès les premiers ballons qu’on était fort ce soir. Le système (3-4-3) est bien intégré. On était bien dans les couloirs, bien dans l’animation offensive. La prestation a été accomplie dans tous les secteurs du jeu. On a vu une équipe déterminée. Nous savourons, mais rien n’est encore gagné. »
Willy SAGNOL (entraîneur de Bordeaux) : « Il y a eu beaucoup trop d’erreurs individuelles pour espérer quoi que ce soit. On peut voir que sur les quatre buts que nous encaissons, il y a trois erreurs et un marquage lâché, sans que ça ne remette en cause le bon match de Reims. Nous avons eu des manques dans la circulation du ballon, ce n’était pas assez rapide. On avait décidé de choix de zones à trouver avant le match, et la seule fois où on l’a fait, nous marquons. Quand on fait des choix, notamment le choix de l’avenir, on sait que l’on connaîtra des désillusions. Ça fait partie de l’apprentissage. Le club a fait le choix du renouvellement, de la jeunesse, donc on travaille davantage pour l’avenir que pour le quotidien. Nous sommes aujourd’hui détachés d’un peloton de tête que l’on pouvait encore viser il n’y a pas si longtemps, peut-être que ça remettra les têtes à l’endroit. »
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Harry Roselmack a apprécié
Un invité de marque, samedi, dans la loge du président du Stade de Reims, Jean-Pierre Caillot : le journaliste et animateur de TF1, Harry Roselmack, grand sportif – il est ceinture noire deuxième dan de judo – n’a pas perdu une miette du plus beau match disputé cette saison par les Stadistes, et du carton plein réussi par les attaquants rouge et blanc. Le superstitieux Caillot lui a sans doute demandé de revenir dès qu’il le pourra...
Charbonnier aurait dû bénéficier d'un penalty
Depuis quand Reims n’avait plus battu Bordeaux aussi largement ? 46 ans. Un petit événement à Delaune samedi. La plus large victoire des Rouge et Blanc devant Bordeaux depuis le 19 août 1970. À l’occasion de leur retour dans l’Élite (obtenu à la faveur d’un nouveau passage de la D1 de 18 à 20 clubs), les coéquipiers d’Yves Herbet avaient également réussi à mener 2-0 à la pause. Une 3 e réalisation de Kuszowski dès la reprise (46 e ) avait définitivement consolidé le double avantage donné par l’ancien Sedanais (29 e ) puis le Yougoslave Dakic (32 e ).
Diego arrière-ailier, ça a donné quoi ? Pas mal. On ne peut pas dire que Diego a eu une tâche particulièrement compliquée pour sa première expérience d’unique dépositaire du couloir gauche stadiste. Le Pauliste a rendu une copie propre, sans avoir à prendre des risques offensifs. Avec Kankava et El Kaoutari à proximité, Diego n’a jamais été débordé. Si son placement a parfois été hésitant, il s’est permis une ou deux interventions en couverture « à la Signorino ». Sa qualité technique est un atout évident pour ressortir proprement les ballons.
Reims avait-il déjà mené par plus d’un but en 1 re mi-temps à Delaune ? Non. C’est la première fois cette saison que les Rémois ont regagné le vestiaire de Delaune nantis d’une avance supérieure à un but. Même contre Lorient, l’autre large succès de cet exercice, ils ne disposaient pas d’un large avantage après 45 minutes. Il faut remonter à la 28 e journée de la saison précédente pour trouver un écart bien prononcé. Contre Nantes, Bourillon puis Mandi avaient fait la différence en deux minutes (14 e et 16 e ). Comme le technicien stadiste se nommait alors Jean-Luc Vasseur, cela signifie qu’il s’agit également d’une première pour Guégan dans sa carrière d’entraîneur.
Charbonnier a-t-il fait du cinéma dans la surface bordelaise ? Non. Ou alors, juste un peu. Pour bien marquer par sa chute que Yambéré s’était rendu coupable sur lui d’une action répréhensible (16 e ). Laquelle exactement ? Avoir joué avec ses bras et ses mains afin d’empêcher le grand Gaëtan de progresser vers le but de Bernardoni. Cela méritait-il penalty ? Non, estima M. Letexier, qui, pour la même faute commise au milieu du terrain, sanctionnera Chantôme quelques minutes plus tard...
Guégan : « Un match abouti»
Olivier GUÉGAN (entraîneur de Reims) : « C’est le genre de soirée que j’aurais aimé vivre plus souvent. Le match de ce soir est très abouti, dans de nombreux domaines, malgré le terrain compliqué. En mettre quatre contre Bordeaux, ce n’est pas mal. Ça nous rassure et on peut y gagner en confiance, mais n’oublions pas que rien n’est encore fait.
Il reste dix matches. J’ai senti dès les premiers ballons qu’on était fort ce soir. Le système (3-4-3) est bien intégré. On était bien dans les couloirs, bien dans l’animation offensive. La prestation a été accomplie dans tous les secteurs du jeu. On a vu une équipe déterminée. Nous savourons, mais rien n’est encore gagné. »
Willy SAGNOL (entraîneur de Bordeaux) : « Il y a eu beaucoup trop d’erreurs individuelles pour espérer quoi que ce soit. On peut voir que sur les quatre buts que nous encaissons, il y a trois erreurs et un marquage lâché, sans que ça ne remette en cause le bon match de Reims. Nous avons eu des manques dans la circulation du ballon, ce n’était pas assez rapide. On avait décidé de choix de zones à trouver avant le match, et la seule fois où on l’a fait, nous marquons. Quand on fait des choix, notamment le choix de l’avenir, on sait que l’on connaîtra des désillusions. Ça fait partie de l’apprentissage. Le club a fait le choix du renouvellement, de la jeunesse, donc on travaille davantage pour l’avenir que pour le quotidien. Nous sommes aujourd’hui détachés d’un peloton de tête que l’on pouvait encore viser il n’y a pas si longtemps, peut-être que ça remettra les têtes à l’endroit. »
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Rémi Oudin passe pro à Reims
Stagiaire professionnel au Stade de Reims, le jeune attaquant de 19 ans Rémi Oudin a signé son premier contrat pro (qui courra à compter du 1er juillet prochain) avec le club champenois jusqu’en 2019. Sacré champion de France U19 la saison dernière (22 buts, 17 passes), ce gaucher racé (1,85 m, 79 kg), surnommé «Robin» par ses coéquipiers pour sa ressemblance avec le Néerlandais Van Persie, est l’actuel meilleur buteur du groupe F de CFA2 (11 buts) dominé par la réserve rémoise.
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Reims : saison terminée pour Alexi Peuget
Alexi Peuget ne jouera plus cette saison avec Reims. (L'Equipe)
Alexi Peuget, qui souffrait d'une pubalgie persistante, a été opéré lundi avec succès. Apparu à douze reprises en Ligue 1 cette saison, le milieu défensif rémois (25 ans) sera absent pendant deux mois et demi. Sa saison est d'ores et déjà terminée.
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LOSC-SDR : au match aller…
À l’aller, les Rouge et Blanc avaient su répondre au défi physique imposé et l’avaient emporté grâce à une réalisation de la tête de David Ngog. En attendant le retour à Pierre Mauroy, focus sur la rencontre et le parcours des deux équipes depuis leur dernière confrontation…
Le scénario de la rencontre
Invaincu à domicile depuis deux matchs, deux belles victoires à Delaune contre Marseille (1-0) et Lorient (4-1), le Stade de Reims se fait peur d’entrée face au Lille OSC. Dès la deuxième minute de jeu, Éric Bauthéac reprend de volée un corner joué directement sur lui. Sa frappe trouve le montant gauche, puis le droit… Ouf ! Sofiane Boufal fait à son tour sursauter le public rémois quelques instants plus tard (7ème). Le dribbleur fou nordiste s’infiltre à coup de crochets dans la défense rémoise et laisse la conclusion à Junior Tallo. Johny Placide veille au grain… L’orage se calme, l’accalmie profite alors aux Rémois. Nicolas De Préville accélère à gauche mais il est percuté au coin de la surface par Djibril Sidibé… Pénalty ! David Ngog s’en charge mais bute sur Mike Maignan qui retarde l’échéance (19ème).
L’intensité du match se dissipe peu à peu dans le nombre d’occasions, pas dans les contacts qui deviennent de plus en plus appuyés (6 cartons jaunes distribués lors des 45 premières minutes, 39 fautes dans la rencontre). Le match tourne au rapport de force que le SDR fait pencher de son côté à la 56ème minute… Antoine Devaux adresse un bon ballon vers Prince Oniangué qui s’arrache pour l’exploiter dans les seize mètres cinquante. Son centre à destination de David Ngog est parfait, tout comme le timing de l’attaquant rémois qui ne laisse pas, cette fois, passer sa chance. Il expédie de la tête le cuir dans les filets lillois… Ce but d’avance, les Rémois vont le conserver jusqu’au coup de sifflet final et s’imposent pour la troisième fois consécutive chez eux, à Delaune.
La feuille de match :
Stade de Reims : 1-0 LOSC
Mi-temps : 0-0. Affluence : 11 696 spectateurs.
But : Ngog (56ème).
Arbitrage : Ruddy Buquet.
Cartons jaunes : SDR : Weber (12ème), Bulot (15ème), Kankava (31ème). LOSC : Sidibé (19ème), Bauthéac (32ème), Mavuba (39ème).
Le onze du Stade de Reims : Placide – Signorino, Weber, Tacalfred (c), Traoré – Kankava, Bulot (Mfulu, 90ème), Devaux (Fortes, 70ème), Oniangué, De Préville – Ngog (Siebatcheu 63ème).
Le onze du LOSC : Maignan – Basa, Civelli, Sunzu (Guirassy 70ème) – Sidibé, Mavuba (c), Obbadi, Bauthéac – Benzia, Tallo (Nangis 45ème), Boufal (Corchia 61ème).
Depuis le match aller…
SDR :
Parcours en championnat : 5 victoires, 6 matchs nuls, 11 défaites.
Goal-average : -11, 22 buts marqués – 33 buts encaissés.
Meilleur buteur : Nicolas De Préville, 4 buts.
Classement après le match aller : 4ème.
Classement avant le match retour : 17ème.
LOSC :
Parcours en championnat : 6 victoires, 9 matchs nuls, 7 défaites.
Goal-average : -2, 19 buts marqués – 21 buts encaissés.
Meilleurs buteurs : Yassine Benzia, Sofiane Boufal, 5 buts.
Classement après le match aller : 16ème.
Classement avant le match retour : 15ème.
Re: [CLUB] - STADE DE REIMS
Venez pousser le SDR au stade Pierre Mauroy !
Au coude-à-coude au classement, Lille et Reims s’affrontent samedi au stade Pierre Mauroy dans un match à enjeux. Soyez de la partie et venez soutenir les Rouge et Blanc face aux Dogues !
Samedi, le Stade de Reims a rendez-vous au stade Pierre Mauroy (20h) pour y affronter le Lille OSC qu’il talonne en Ligue 1. Pour faire entendre les chants rémois dans la magnifique enceinte nordiste et pousser les Rouge et Blanc dans leur course au maintien, vous pouvez dès-à-présent réserver votre place dans le parcage visiteurs. Le Groupement Officiel des Supporters organise également le déplacement jusqu’à Lille mais il ne reste plus que quelques places disponibles dans les bus affrétés.
Un pack billet/transport à 35 €
Prix du pack : 35€ (15€ le billet de match + 20€ la place dans le bus). La réservation s’effectue à la boutique officielle du stade Auguste Delaune, ouverte de 10h à 12h et de 14h à 18h jusqu’à samedi. Le départ est prévu le jour du match à 15h sur le parking côté Jonquet (et non René Thys, comme c’était le cas lors des derniers déplacements).
Antoine Conte : « Lille sera revanchard »
Titularisé en défense centrale samedi face à Bordeaux, Antoine Conte a su rapidement retrouver ses marques dans le onze rémois et savoure son retour à la compétition avant le déplacement, samedi, à Lille. Une opposition dont se méfie le jeune défenseur international…
Antoine, quelques mots d’abord sur la belle victoire face aux Girondins ?
« Je pense qu’on s’est montré plus agressif que lors des matchs précédents et en 2016, c’est sans doute notre match référence. Maintenant, le coach a insisté là-dessus, il ne faut pas qu’on se relâche, on doit continuer à travailler si on veut avancer dans ce championnat ».
Tu reviens d’une longue blessure, peux-tu expliquer rapidement le chemin parcouru depuis septembre ?
« J’ai été opéré au genou au niveau du cartilage interne. C’était la première grosse blessure de ma carrière mais je m’étais préparé à rester hors des terrains pour un moment. Suite à cela, je suis parti un mois à Capbreton où j’ai vraiment pu bien bosser, dans un centre dédié. J’ai pris du muscle et mentalement ça m’a fait du bien. Je suis rentré à Reims fin 2015 pour terminer ma rééducation et j’ai pu reprendre avec le groupe ».
« Aujourd’hui, je passe plus de temps en salle de musculation ou avec les kinés… »
Que gardes-tu de cette période difficile ?
« J’ai surtout appris à travailler plus régulièrement en dehors des séances d’entraînement parce que c’est très important. Aujourd’hui, je passe plus de temps en salle de musculation pour faire de la prévention et des étirements ou avec les kinés pour diminuer le risque de blessure ».
Peux-tu nous raconter ton retour à la compétition ?
« J’ai fait un match en réserve avant de retrouver le onze pro, mes sensations étaient bonnes sur le terrain et personnellement ça m’a fait du bien au moral. Pour mon retour avec l’équipe une, à Paris, j’étais vraiment content, je n’ai pas ressenti de douleur par rapport à mon genou. Physiquement, c’était encore un peu difficile mais contre Bordeaux il y eu du mieux et je pense qu’avec les matchs à venir, si je joue, je vais retrouver rapidement le niveau que j’avais avant ma blessure ».
« On espère se maintenir le plus rapidement possible »
Tu es revenu dans un nouveau système, comment as-tu fait pour t’en imprégner ?
« Quand j’étais blessé, je regardais toujours les matchs à la télé et certains entraînements lorsque je le pouvais. Je ne voulais rien rater et j’observais le positionnement à adopter dans une défense à trois. Aïssa (Mandi) et Abdé (El Kaoutari) m’ont aussi bien aidé et expliqué comment travailler à ce poste-là et c’est ce qui a fait que je me suis bien senti samedi dernier».
Comment abordes-tu la rencontre de samedi ?
« On joue à l’extérieur contre Lille qui vient de perdre face à Montpellier, c’est une équipe qui n’est pas totalement en confiance en ce moment mais elle sera revancharde. On devra donc être dans la continuité de notre dernière prestation et faire ce qu’il faut pour prendre des points parce qu’on espère se maintenir le plus rapidement possible ».
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ASM-SDR : le groupe rémois
Pour le déplacement en Principauté, Olivier Guégan enregistre le retour de Lass Bangoura. Découvrez le groupe retenu pour la 30ème journée de L1, et cette rencontre au stade Louis II qui se disputera demain, vendredi 11 mars 2016 (20h30).
Le groupe
Gardiens : CARRASSO Johann, AGASSA Kossi.
Défenseurs : CONTE Antoine, EL KAOUTARI Abdelhamid, FOFANA Mohamed, MANDI Aïssa, SIGNORINO Franck, TACALFRED Mickaël, TRAORE Hamari.
Milieux : CHARBONNIER Gaëtan, KANKAVA Jaba, MFULU Omenuke, NDOM Aly, RIGONATO Diego.
Attaquants : BANGOURA Lass, BIFOUMA Thievy, DE PREVILLE Nicolas, NGOG David, SIEBATCHEU Theoson-Jordan.
Infirmerie
KYEI Grejohn (cheville), ONIANGUE Prince (ischios), PEUGET Alexi (pubalgie pariétale).
Absents
BULOT Frédéric (choix), DEVAUX Antoine (suspendu), FORTES Odaïr (choix), KAMARA Hassane (choix), PLACIDE Johny (choix), RODRIGUEZ Hugo (choix), TURAN Atila (choix), WEBER Anthony (choix).
AS Monaco-Stade de Reims
Ligue 1 – 30e journée.
Stade Louis II , vendredi 11 mars 2016 à 20h30.
Match retransmis en direct sur BeIN Sports.
Re: [CLUB] - STADE DE REIMS
ASM-SDR : Deux buts casquette, mais chapeau SDR !
Comme souvent cette saison, c’est un SDR a réaction qui s’est présenté à Louis II. Pénalisé par deux erreurs individuelles qui ont entaché une première mi-temps bien maîtrisée, les Rémois ont trouvé les ressources pour se relever à chaque fois et s’offrent un très bon point en Principauté.
De la vitesse, des occasions et deux équipes qui se rendent coup pour coup. Le début de match entre l’ASM et le SDR est haletant. 4 minutes seulement après le coup d’envoi, Diego trouve Thievy Bifouma d’une ouverture inspirée dans le dos de la défense. L’international gabonais va plus vite que tout le monde et peut se présenter seul face à Danijel Subasic. Le portier monégasque remporte son duel. Monaco repart très vite à l’attaque et répond promptement. Elderson Echiejile avance à gauche et adresse un ballon enroulé dans le dos de la défense rémoise. Johann Carrasso veut sortir mais est un peu en retard dans le timing. Le ballon revient dans les pieds de Vagner Love qui concrétise l’offrande et assène un coup au moral des visiteurs (1-0 22ème). Mais à Reims, on commence à avoir le cuir tanné et le SDR va montrer qu’il a du répondant…
Cinq minutes après ce coup du sort, Thievy Bifouma récupère le ballon dans son camp et accélère. Il s’appuie sur Nicolas De Préville, qui, à son tour, se met dans le sens de la marche. Son centre millimétré parvient à Gaëtan Charbonier. Celui-ci patiente un rebond et reprend de volée, c’est au fond (1-1, 11ème) ! Dès lors, le SDR est dans un temps fort, chaque accélération fait mal à la défense et Nicolas De Préville, encore lui, en profite. Avec aisance, il élimine son vis-à-vis d’un grand pont, s’infiltre dans la surface et remise pour Gaëtan Charbonnier (22ème). La frappe est pure mais non cadrée… Le match est vif… et c’est au tour des locaux de répliquer. Johann Carrasso doit intervenir d’une parade peu académique mais efficace, repoussant de la cuisse la tête puissante de Wallace (26ème). Le rythme des occasions se calme quelque peu après la demi-heure de jeu. Jusqu’à la 37ème minute précisément. Venu défendre sur une touche, en position de latéral gauche, Gaëtan Charbonnier jauge mal la situation. Sa passe en retrait est interceptée par Vagner Love qui n’en demandait pas tant. Le Brésilien vient battre le portier rémois pour la seconde fois de la soirée. À la mi-temps, impossible de ne pas avoir de regrets tant les erreurs individuelles coûtent cher au tableau d’affichage.
Le SDR n’a jamais abdiqué !
Reims va de nouveau devoir courir après le score mais ne baisse en aucun cas les bras. La solidité fait son retour derrière et Johann Carrasso a évacué la frustration du premier but encaissé. Sollicité, il reprend le dessus sur son bourreau du soir, Vagner Love, en sortant avec autorité et à deux reprises dans les pieds de l’attaquant brésilien (54ème et 67ème). Devant, les fulgurances de Nicolas De Préville sèment toujours autant le trouble. Il parvient dans un premier temps à trouver Gaëtan Charbonnier. Dos au but, le numéro 10 rémois se retourne, c’est contré. Passeur, NDP est cette fois à la conclusion d’un long ballon sur la droite d’Hamari Traoré. Plus rapide et plus agile techniquement que le défenseur au marquage, il s’en défait mais se heurte à un Danijel Subasic vigilant.
À force de courage et de persévérance, le SDR est récompensé à la 79ème minute de jeu. Lass Bangoura, entré en jeu à la 65ème, est lancé à droite. L’ailier de poche rémois lève la tête et distille une merveille de centre au second poteau. Le ballon est repris par Diego Rigonato qui égalise d’une tête smashée. Reims recolle et c’est mérité. Les 10 dernières minutes ne feront pas évoluer le score, Johann Carrasso se couchant sur l’ultime tentative monégasque dans les arrêts de jeu (90ème+4). Grâce à ce match nul (2-2), le Stade de Reims s’offre un très bon point au terme d’une prestation pleine de caractère face au dauphin du PSG en Ligue 1. Un résultat encourageant à une semaine d’un rendez-vous importantissime face à Guingamp…
AS Monaco 2 – 2 Stade de Reims
Affluence : 5 738 spectateurs. Mi-temps : 2-1
Buts : ASM : Vagner Love (5ème, 38ème). SDR : Charbonnier (11ème), Diego Rigonato (79ème).
Arbitrage : Benoît Millot
Cartons jaunes : Echiejile (35ème), Silva (72ème). SDR : Carrasso (5ème), Conte (70ème)
Le onze rémois :
Carrasso – Traoré, Conte, Mandi (c), El Kaoutari, Diego (Mfulu, 85ème) – Kankava, Ndom, Charbonnier (Siebatcheu, 78ème) – Bifouma (Bangoura, 66ème), De Préville.
Le onze monégasque :
Le onze monégasque : Subasic – Fabinho, Carvalho (Traoré, 83ème), Wallace, Echiejile – Toulalan (c), Moutinho – B.Silva, Lemar (Mbappe, 86ème), H.Costa (Bakayoko, 63ème) – Vagner Love.
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SDR-EAG : le groupe rémois
Pour la réception de Guingamp, Olivier Guégan enregistre le retour d’Antoine Devaux. Découvrez le groupe retenu pour la 31ème journée de L1, et cette rencontre importantissime qui se disputera demain, samedi 19 mars 2016 (20h) à Auguste Delaune.
Le groupe
Gardiens : CARRASSO Johann, AGASSA Kossi.
Défenseurs : CONTE Antoine, EL KAOUTARI Abdelhamid, MANDI Aïssa, SIGNORINO Franck, TACALFRED Mickaël, TRAORE Hamari, TURAN Atila.
Milieux : CHARBONNIER Gaëtan, DEVAUX Antoine, KANKAVA Jaba, MFULU Omenuke, NDOM Aly, RODRIGUEZ Hugo.
Attaquants : BANGOURA Lass, BIFOUMA Thievy, DE PREVILLE Nicolas, SIEBATCHEU Theoson-Jordan.
Infirmerie
KYEI Grejohn (cheville), ONIANGUE Prince (ischios), PEUGET Alexi (pubalgie pariétale).
Absents
BULOT Frédéric (choix), FOFANA Mohamed (choix), FORTES Odaïr (choix), KAMARA Hassane (choix), NGOG David (choix), PLACIDE Johny (choix), RIGONATO Diego (suspendu), WEBER Anthony (choix).
Stade de Reims-En Avant Guingamp
Ligue 1 – 31e journée.
Stade Auguste Delaune, samedi 19 mars 2016 à 20h.
Match retransmis en direct sur BeIN Sports.
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SDR-EAG : Se replacer avant le sprint final
Jour de match. Alors que la dernière ligne droite est amorcée, le Stade de Reims veut se replacer en prenant l’avantage, devant son public, sur un concurrent direct, l’En Avant Guingamp…
Une prestation pleine de hargne mais des erreurs qui coûtent encore cher. Un très bon point face au second du championnat mais des concurrents qui en prennent trois… La 30ème journée de Ligue 1 s’est clôturée sur une note contrastée pour le Stade de Reims. Les Rouge et Blanc avaient en effet montré un tout autre visage que celui affiché une semaine auparavant à Lille. Nettement plus conquérants et tranchants sur chaque montée de balle, ils ont mis à mal la défense expérimentée des joueurs du Rocher. Malheureusement, ils se sont également mis en difficulté, s’obligeant à courir après le score la majeure partie de la rencontre. « Même si on méritait peut-être mieux à Monaco, note Olivier Guégan, c’est un très bon point et on veut le valider à domicile à présent ».
Les deux égalisations ont tout de même confirmé une tendance forte : ce SDR a du caractère ! Le match couperet qui attend les Stadistes ce soir à Delaune est l’occasion de le rappeler. Car sur les récentes confrontations avec des concurrents directs pour le maintien, les résultats sont plus que mitigés… La dernière victoire dans ce que l’on appelle communément « un match à 6 points», remonte d’ailleurs au match aller contre… Guingamp. Quoiqu’il en soit, l’affrontement du jour constitue une opportunité pour se replacer avant le sprint final. « Ce match est très important avant la trêve internationale, rappelle Olivier Guégan. On doit bien le négocier pour basculer avec un nombre de points intéressant pour nos 7 derniers matchs. On a notre destin en main et on ne doit pas laisser Guingamp s’échapper ».
Deux équipes en quête de confirmation
Après un passage maussade et 2 points pris en 5 matchs quand le SDR en prenait 6 rattrapant par là même son adversaire breton, Guingamp est repassé au vert, face aux Verts. Les hommes de Jocelyn Gourvennec ont fait tomber chez eux Saint-Etienne et ont repris de l’avance sur les Rémois dans cette course à rebondissements. Le coach costarmoricain ne cachait pas sa satisfaction. « Les joueurs peuvent être fiers de ce qu’ils ont fait. Après plusieurs revers, ils ont su hausser leur niveau de jeu mais il faut à présent confirmer face à Reims. On ne peut pas se contenter d’un très bon match de temps en temps ». Entre deux équipes qui veulent bonifier leur résultat de la semaine passée, la rencontre s’annonce engagée.
« À nous d’imposer notre jeu, on ne doit pas douter de nos forces parce qu’on en a pour contrer notre adversaire et son système en 4-4-2 qui est bien huilé » rétorque Olivier Guégan. « Les Guingampais ont un duo d’attaque de qualité, complète-t-il, des joueurs excentrés performants et ce système leur permet d’exploiter leurs forces ». Si Jocelyn Gourvennec peut souvent faire tourner sans que la qualité du dispositif, n’en soit réduite, il compte cette année sur un noyau de 5 joueurs décisifs : Jimmy Briand, Sloan Privat, Thibault Giresse, Yannis Salibur et Younousse Sankharé. Ces cinq-là sont la pierre angulaire de l’animation offensive bretonne et se partagent 75% des buts bretons. Il y aura danger s’ils ont l’opportunité de se déployer en contre-attaques, leur arme favorite. Le mot de la fin revient au technicien rémois. « On ne va pas se raconter d’histoire, cette rencontre est très importante et on doit se concentrer sur nous-mêmes pour faire un grand match devant notre public ».
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Jean-Pierre Caillot, président du Stade de Reims : «Je suis frustré
Jean-Pierre Caillot, président du Stade de Reims, attend que son équipe, 17e et hôte de Guingamp ce samedi (20h00), décolle enfin au classement.
Jean-Pierre Caillot, le président de Reims, renouvelle sa confiance à Olivier Guégan.
Premier club non relégable, à égalité de points avec le Gazélec Ajaccio, Reims reçoit Guingamp ce samedi soir (20h00) avec pour objectif de se donner enfin de l’air. Son président, stressé, conforte toutefois les choix de recrutement effectués cet hiver et sa confiance envers son staff et son équipe.
«Vous êtes seize ou dix-septième depuis fin décembre. Avez-vous le sentiment de pouvoir enfin vous en sortir ce soir contre Guingamp ?
C’est un match important mais pas déterminant. Il reste huit journées de Championnat. C'est un Championnat de folie. Celui qui est capable de donner le classement final est très fort. On se fait peur avec cette 17e place mais on aspire à intégrer le ventre mou du classement. Il y a peu d'écart avec les équipes situées plus haut. Notre objectif est d'éviter le stress. Je suis très frustré par rapport au groupe et à l'équipe qui a été mise en place et qui a été renforcée. Ce groupe, de qualité, mériterait d'être plus haut dans le classement. On a identifié les problèmes liés à des faits de jeu, des défaillances individuelles et quelques erreurs d’arbitrage.
Êtes-vous satisfait de votre recrutement hivernal (Bifouma, Bangoura, Carrasso, El Kaoutari) ?
C’est un élément positif. Nous n’avions pas le choix en raison des blessures de longue durée. Il était urgent d’apporter du sang frais devant et derrière. Ces arrivées doivent insuffler une dynamique même si elles n’ont pas forcément été concrétisées sur le plan comptable.
«Confiance à Olivier Guégan»
Olivier Guégan est-il toujours votre homme de la situation ?
Si je réponds oui, on va dire ‘’il se pose la question’’. Mais c’est vous qui m’interrogez. Et lorsque vous l’avez fait quelques mois auparavant, je vous avais dit que nous maintenions notre confiance à Olivier. Je ne vous avais pas menti. Je n’ai pas changé d’avis. Le groupe vit bien. Nous sommes proches de nos joueurs et du staff. Je n’ai toujours pas décelé de signe de scission. Il n’est pas question de changer des têtes sauf élément dont je n’ai pas connaissance.
Combien de points estimez-vous devoir prendre pour vous maintenir ?
Si avant Monaco, on nous avait précisé qu’on allait prendre un point, voire qu’on pouvait espérer plus… On en prend parfois là où on ne nous attend pas. On a plus de mal contre les équipes de deuxième moitié de tableau. Le club et le staff ont déjà eu ce genre de problème les saisons passées. Peut-être que mon équipe s’adapte mieux à des formations qui jouent plus au ballon. S’il est question de motivation, je ne doute pas qu’on sera très motivés contre Guingamp.
Comment anticipez-vous la fin de saison ?
On pensait qu’il n’y avait que trois clubs concernés par la 17e place. Mais Toulouse (19e) peut encore y rêver. Ou bien le 12e peut très mal terminer. Nous pourrions raisonnablement espérer avoir six points de plus. Commençons par l’emporter contre Guingamp, un club que nous connaissons très bien et avec lequel nous entretenons de bons rapports. Nos évolutions sont assez comparables à l’exception de leur succès en Coupe et de leur parcours européen. Je souhaite les battre mais que nos deux clubs finissent par se maintenir en fin de saison.»
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Blessures pour Mandi et De Préville
La défaite du Stade de Reims contre Guingamp (0-1) a laissé des traces. Aïssa Mandi souffre d’une entorse de l’annulaire de la main droite. Il doit repasser des examens avant de rejoindre la sélection algérienne, avec sans doute une attelle. Nicolas De Préville a lui été victime d’une fracture du nez après un choc avec Moustapha Diallo.
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SRFC-SDR : le groupe rémois
Pour le déplacement à Rennes, Grejohn Kyei est de retour dans les 18. Découvrez le groupe retenu par Olivier Guégan pour la 32ème journée de L1 qui se disputera demain, samedi 2 avril 2016 (20h), au Roazhon Park.
Le groupe
Gardiens : AGASSA Kossi, CARRASSO Johann.
Défenseurs : EL KAOUTARI Abdelhamid, MANDI Aïssa, TACALFRED Mickaël, TRAORE Hamari, WEBER Anthony.
Milieux : CHARBONNIER Gaëtan, DEVAUX Antoine, KANKAVA Jaba, MFULU Omenuke, NDOM Aly, RIGONATO Diego.
Attaquants : BANGOURA Lass, BIFOUMA Thievy, DE PREVILLE Nicolas, KYEI Grejohn, NGOG David.
Infirmerie
PEUGET Alexi (pubalgie pariétale), SIGNORINO Franck (élongation).
Absents
BULOT Frédéric (choix), CONTE Antoine (suspendu), FOFANA Mohamed (repos), FORTES Odaïr (repos), KAMARA Hassane (choix), ONIANGUE Prince (reprise), PLACIDE Johny (choix), RODRIGUEZ Hugo (choix), SIEBATCHEU Theoson-Jordan (choix), TURAN Atila (choix).
Stade Rennais-Stade de Reims
Ligue 1 – 32e journée.
Roazhon Park, samedi 2 avril 2016 à 20h.
Match retransmis en direct sur BeIN Sports.
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SRFC-SDR : Rennes tout simplement trop fort (3-1)
Face à une équipe qui jouait ce soir pour une place sur le podium, le Stade de Reims n’a pas réussi à se relever après deux buts coup sur coup en début de rencontre. Les Rouge et Blanc gardent malgré tout leur 17ème place et restent au-dessus de la ligne de flottaison à l’issue de la 32ème journée…
Dès le début de rencontre, les Rémois prennent le jeu à leur compte et tentent de mettre en difficulté la défense bretonne. En vain : il y a toujours un Rouge et Noir pour écarter le danger… Le Stade Rennais décide alors d’accentuer le pressing et c’est Mickaël Tacalfred -aligné de dernière minute à la place d’Abdelhamid El Kaoutari blessé à l’échauffement- qui se fait surprendre. Giovanni Sio tente de le déstabiliser dans sa relance et réussit à récupérer le ballon. Il accélère à gauche puis sert Kamil Grosicki lancé à vive allure. La reprise instantanée de l’international polonais trompe Johann Carrasso et les Bretons ouvrent le score sur leur première action (1-0, 12ème). Alors que l’entame du match n’a rien d’idéale, le SDR va être victime d’un énième coup du sort cette saison. Le premier buteur bretillien est trouvé dans le dos de la défense stadiste, il est nettement hors-jeu. Une position flagrante pourtant non signalée… Le numéro 10 rennais en profite et joue en première intention, en retrait, pour Ousmane Dembélé qui double la mise seulement deux minutes après le premier but… (2-0, 14ème).
Le SDR est soudainement asphyxié. Il tente tant bien que mal de se sortir de cette mauvaise passe mais le bloc adverse ne laisse aucune solution, s’extirpant à chaque fois des situations difficiles. La première frappe rémoise n’intervient qu’à la 40ème minute. Nicolas De Préville tente de profiter d’un ballon flottant qu’il reprend de volée. Ce n’est pas cadré et il n’y aura pas d’autres opportunités rémoises avant la pause. Les hommes de Rolland Courbis accélèrent de nouveau en toute fin de période. Johann Carrasso doit sortir avec autorité hors de sa surface. Il tacle Grosicki en position de dernier défenseur pour l’empêcher d’obtenir un nouveau face à face. L’intenable Polonais s’illustre une dernière fois avant la pause sur un coup de franc dans les arrêts de jeu. Johann Carrasso remporte une nouvelle fois son duel d’une superbe claquette. Sur cette occasion, M. Ennjini siffle la mi-temps.
Un trio Dembélé-Gourcuff-Grosicki intenable
À la pause, Olivier Guégan change de dispositif avec un 4-3-3 plus offensif. Hamari Traoré tente alors de bousculer l’équipe rennaise. Sa lourde frappe du gauche s’envole au-dessus de la cage (47ème). Une occasion à laquelle le SRFC répond immédiatement. Dembélé accélère à droite, s’appuie sur Gourcuff au centre qui décale Grosicki à gauche. Il faut une nouvelle parade, du tibia cette fois, du gardien rémois (55ème) pour stopper les locaux. Plus volontaires depuis le retour des vestiaires, les Rouge et Blanc parviennent finalement à réduire le score sur un corner. Le ballon est dégagé dans la confusion et revient jusqu’à Aïssa Mandi qui s’était reculé. Le capitaine rémois en profite et l’expédie au fond des filets (2-1, 58ème). L’espoir renaît, pour une courte durée toutefois… La réduction du score a piqué au vif les Bretons qui jouaient ce soir pour monter sur le podium.
Les accélérations rennaises font mal au SDR et vont permettre aux locaux de retrouver l’écart du début de match. Trouvé par Sylvain Armand dont c’était la 500ème apparition en Ligue 1, Ousmane Dembélé enroule et trouve le chemin des filets pour la seconde fois de la soirée (3-1, 67ème). Le rythme baisse alors en intensité. Le Stade Rennais contrôle et le SDR n’arrive plus à s’infilter dans le camp adverse. Les dernières minutes offrent cependant à chaque camp son ultime occasion. La reprise de Gelson Fernandes est hors cadre (87ème), la tête de Thievy Bifouma sur coup franc est détournée en deux temps par Benoît Costil (89ème). C’est terminé, le Stade de Reims doit d’incliner face à un adversaire tout simplement plus fort mais reste, malgré la défaite, juste au-dessus de la zone rouge. Le Gazélec a perdu dans le même temps, sur sa pelouse, face à l’AS Saint-Etienne (0-2). Faire un résultat contre Nantes, la semaine prochaine à Delaune, sera vital pour l’opération maintien.
Stade Rennais 3 – 1 Stade de Reims
Affluence : 24 828 spectateurs. Mi-temps : 2-0.
But : SRFC : Grosicki (12ème), Dembélé (14ème), Dembélé (67ème) – SDR : Mandi (58ème).
Arbitrage : Saïd Ennjini, remplacé à la mi-temps par Jérémy Stinat.
Carton jaune : SRFC : Diagne (61ème)
Le onze de départ rémois :
Carrasso – Traoré, Tacalfred (Mfulu, 46ème), Mandi (c), Weber, Diego – Ndom (Kyei, 76ème), Devaux, Charbonnier (Bangoura, 46ème) – De Préville, Bifouma.
Le onze de départ rennais :
Costil – Danzé (c), Diagne, Armand, M’Bengue – Fernandes, André – Gourcuff (Gnagnon, 79ème), Dembélé (Baal, 67ème), Grosicki (Boga, 73ème)- Sio.
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SRFC-SDR : les chiffres de la rencontre
Face à un collectif particulièrement solide derrière et boosté par sa pépite Ousmane Dembélé qui a fait peser une menace constante sur la défense rémoise, le Stade de Reims n’a pas réellement eu l’occasion d’exister hier au Roazhon Park. Retrouvez les chiffres de la rencontre.
4. Si le Stade de Reims reste 17ème suite à la défaite du Gazélec Ajaccio sur sa pelouse face à Saint-Etienne (0-2), un autre concurrent réapparaît… En s’imposant face au Stade Malherbe Caen, le Toulouse FC est revenu à 4 longueurs du duo Reims-Ajaccio et pourrait venir se mêler à la lutte finale.
4/16. Dominateur, le SRFC a remporté presque tous les duels aériens disputés dans sa moitié de terrain. Seuls 4 d’entre eux leur ont échappé sur les 16 qui ont eu lieu dans le match.
8/12. Sur les 12 joueurs de champ qui ont disputé hier plus d’une mi-temps côté stadiste, 8 d’entre eux ont perdu plus de 10 ballons dans la rencontre. Un chiffre trop important pour réussir à mettre à mal une équipe qui est montée sur la troisième marche du podium de Ligue 1.
10. Hamari Traoré est le Rémois qui a gagné le plus de duels lors de SRFC-SDR. 10 au total pour le latéral droit qui a été une nouvelle fois le joueur à avoir touché le plus de ballons, 76 en 90 minutes.
13. Hier, Grejohn Kyei a refoulé, pendant 13 minutes, une pelouse de Ligue 1 pour la première fois depuis sa longue blessure. La dernière fois, c’était il y a presque 5 mois, le 7 novembre 2015 à Delaune face au GFC Ajaccio. Son retour pourrait apporter un vent de fraîcheur dont le collectif champenois a grandement besoin.
32. Au Roazhon Park, le bourreau des Rouge et Blanc s’appelait Ousmane Dembélé. Le jeune international espoir qui a marqué par deux fois n’a pourtant touché que 32 ballons dans sa rencontre mais à chaque fois qu’il s’est infiltré dans le camp rémois, il y a eu danger…
45. Le temps qu’a passé Saïd Ennjimi, l’arbitre de la rencontre sur le terrain. L’homme en noir s’est blessé et a dû être remplacé à la mi-temps par le 4ème arbitre, Jérémy Stinat.
54. Comme la possession de balle du Stade de Reims qui a une nouvelle fois été à l’avantage des Marnais. Un chiffre logique car une fois le break réalisé, les Bretons ont contrôlé leur avance. La supériorité dans la tenue de balle n’était toutefois pas criante, le bloc rennais parvenant à contenir le SDR loin de sa surface, ne lui laissant que peu d’espaces.
Formation, féminines : les résultats du week-end
Programme allégé ce week-end pour les équipes du Stade de Reims, du fait des vacances d’avril. En CFA 2, la réserve continue de malmener ses poursuivants. Elle s’est imposée largement contre Sarreguemines (4-0). La D2 Féminine est de son côté, revenue de région parisienne avec une précieuse victoire qui lui permet de conserver 8 points d’avance sur la zone de relégation. Une seule contre-performance est à noter, celle des U17 Nationaux qui se sont inclinés à domicile dans une confrontation directe face à Épinal. Ils laissent leurs adversaires du jour passer devant au classement…
Groupe Elite :
CFA2 Stade de Reims 4-0 Sarreguemines
Groupe Féminines :
St Denis 0-1 D2 Stade de Reims
Groupe Formation :
Stade de Reims U17 Nationaux 1-2 Epinal
Pré-formation :
La Chapelle – U15 (DH) Stade de Reims reporté
U15 (PH) Stade de Reims 2-2 Asptt Chalons
U13 (Challenge CE) Stade de Reims 3ème et qualifié pour la finale régionale
U13 (Excellence) Stade de Reims 6-3 Dizy/Magenta
Modifié en dernier par babar051 le 09 avr. 2016 12:09, modifié 1 fois.
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SDR-FCN : le groupe rémois
Pour la réception du FC Nantes, le SDR enregistre les retours de Frédéric Bulot et Prince Oniangué. Découvrez le groupe retenu par Olivier Guégan pour la 33ème journée de L1 qui se disputera demain, samedi 9 avril 2016 (20h), à Auguste Delaune.
Le groupe
Gardiens : AGASSA Kossi, CARRASSO Johann.
Défenseurs : CONTE Antoine, MANDI Aïssa, SIGNORINO Franck, TRAORE Hamari, TURAN Atila, WEBER Anthony.
Milieux : BULOT Frédéric, CHARBONNIER Gaëtan, DEVAUX Antoine, KANKAVA Jaba, NDOM Aly, ONIANGUE Prince.
Attaquants : BANGOURA Lass, BIFOUMA Thievy, DE PREVILLE Nicolas, NGOG David, SIEBATCHEU Theoson-Jordan.
Infirmerie
FOFANA Mohamed (ischios), KYEI Grejohn (ischios), PEUGET Alexi (pubalgie pariétale), RIGONATO Diego (adducteurs).
Absents
EL KAOUTARI Abdelhamid (reprise), FORTES Odaïr (choix), KAMARA Hassane (reprise), MFULU Omenuke (choix), PLACIDE Johny (choix), RODRIGUEZ Hugo (choix), TACALFRED Mickaël (choix).
Stade de Reims-FC Nantes
Ligue 1 – 33ème journée.
Stade Auguste Delaune, samedi 9 avril 2016 à 20h.
Match retransmis en direct sur BeIN Sports.
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SDR-FCN : Le SDR prend le bon tournant (2-1)
C’était un match à ne pas perdre et le SDR l’a gagné ! Dans une fin de rencontre asphyxiante, les Stadistes ont préservé un avantage chèrement acquis et retrouvent le goût de la victoire à Delaune. Les Rouge et Blanc se donnent de l’air avant le très attendu derby…
Une fois n’est pas coutume ce sont les visiteurs qui entament le match avec plus d’entrain que les Rémois. Si la frappe de Birama Touré est captée sans trop de difficulté par Johann Carrasso (5ème), la reprise de la tête de Sigthorsson donne, elle, quelques sueurs froides au portier stadiste. La balle retombe sur le haut de la barre (7ème). Dominateurs mais en manque de réalisme… Ce scénario, le Stade de Reims le connaît par cœur. Ce soir, il s’inverse enfin et s’applique au FC Nantes lorsque les Stadistes ouvrent la marque. Sur un coup franc tiré par Nicolas De Préville, les hommes de Michel Der Zakarian se dégagent mal. Antoine Devaux récupère le ballon, lance Franck Signorino à gauche. Le latéral peut remiser pour Prince Oniangué. Maxime Dupé tente bien de se jeter pour détourner la reprise du gauche du capitaine du Congo mais le cuir termine sa course dans le petit filet (1-0, 11ème minute). Retour gagnant pour le numéro 8, titularisé après 6 semaines loin des terrains.
Un but refusé logiquement de Prince Oniangué (24ème), une frappe contrée de Thievy Bifouma (29ème), le premier acte s’est peu à peu refermé depuis le quart d’heure de jeu… Jusqu’aux 5 dernières minutes pendant lesquelles seul le portier adverse empêche les locaux de doubler la mise. D’une parade réflexe, à bout portant, Maxime Dupé détourne la tête d’Antoine Devaux sur un corner très bien frappé par l’inévitable Nicolas De Préville (40ème). L’action se poursuit et le passeur se retrouve en position du frappeur (41ème). Ou plutôt du canonnier tant sa tentative est limpide et appuyée. Alors que le ballon prend la direction de la lucarne droite, la doublure de Rémy Riou le dévie de sa trajectoire glorieuse et prive le numéro 12 rémois d’une nouvelle réalisation magnifique. Dans cette période, les Nantais ont trop souvent manqué de justesse et ne se sont plus montrés en mesure d’inquiéter Johann Carrasso après l’ouverture du score.
Cardiaques, s’abstenir…
1-0 après 45 minutes, c’est bien mais pas suffisant pour assurer les trois points dont les Rouge et Blanc ont absolument besoin. Si Thievy Bifouma maintient la pression sur la défense adverse par ses accélérations (47ème et 55ème), les visiteurs reprennent peu à peu confiance. Emiliano Sala entre en jeu (58ème) et devient rapidement le danger numéro 1. Sa première frappe s’envole (63ème), la seconde est repoussée par Johann Carraso… sur Johan Audel qui ne se fait pas prier pour profiter de ce ballon chanceux (68ème). Nantes égalise et tout est à refaire (1-1, 68ème). Les visiteurs ont le vent en poupe. Le portier du SDR doit se sacrifier pour empêcher Lenjani de devenir la bête noire du SDR (il avait marqué le but de la victoire nantaise à l’aller). En souffrance, les Rouge et Blanc laissent passer l’orage et repartent à l’attaque. Trouvé dos au but et bien entouré, Thievy Bifouma se retourne et part au but. Il est stoppé à l’extrême limite de la surface par Lorik Cana qui offre à Nicolas De Préville un excellent coup franc, plein axe.
De Préville, le meilleur buteur rémois, choisit de passer à droite du mur. Le ballon percute finalement le torse de Youssouf Sabaly et termine à l’opposé, dans le but nantais. En tension depuis quelques minutes, Delaune explose (2-1, 80ème). La fin du match est totalement décousue car Nantes reste menaçant. Il faut un nouveau sauvetage du dernier rempart stadiste et un dégagement in extremis d’Aïssa Mandi, qui enlève le ballon à Yacine Bammou, pour écarter le danger (84ème). La tension est palpable, ce dernier se rend d’ailleurs coupable d’un geste d’humeur et est exclu (85ème). Le FCN va terminer à 10, sans pour autant cesser d’y croire. Johann Carrasso piégé sur un centre venu de la gauche, est secondé par son capitaine qui dégage devant sa ligne et Emiliano Sala. Au bout de 4 longues minutes, suffocantes, de temps additionnel, Bartolomeu Valera libère Delaune. Le Stade de Reims renoue enfin avec la victoire (2-1) et conserve son avance sur Toulouse, tout en laissant le Gazélec Ajaccio à 2 unités au classement. Le derby samedi prochain aura toute son importance…
Stade de Reims 2 – 1 FC Nantes
Affluence : 12 143 spectateurs. Mi-temps : 1-0.
Buts : SDR : Oniangué (11ème), De Préville (80ème) FCN : Audel (68ème).
Arbitrage : Bartolomeu Varela.
Cartons jaunes : SDR : Kankava (6ème), Signorino (74ème) FCN : Bammou (29ème), Audel (59ème), Cana (79ème)
Carton rouge : FCN : Bammou (85ème)
Le onze rémois :
Carrasso – Conte, Mandi (c), Weber, Signorino – Kankava, Oniangué (Ndom, 74ème), Devaux – Traoré, Bifouma (Ngog, 82ème), De Préville (Turan, 87ème).
Le onze de départ nantais :
Dupé – Sabaly, Vizcarrondo (c), Cana, Dubois – Touré, Gillet – Thomasson (Lenjani, 58ème), Bammou, Audel (Ardyan, 71ème) – Sigthorsson (Sala, 58ème).
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SDR-FCN : les chiffres de la rencontre
Nicolas De Préville qui retrouve le chemin des filets, la première passe décisive de Franck Signorino cette saison, le troisième but en quatre matchs de Prince Oniangué… Retrouvez les chiffres marquants de la victoire ô combien importante du SDR face à Nantes.
1. Depuis qu’il est arrivé au Stade de Reims, Franck Signorino a toujours réalisé au moins une passe décisive dans sa saison. Ce n’était pas encore arrivé cette année, c’est désormais chose faite face à son ancien club à qui il avait déjà joué un mauvais tour en 2014-15 en offrant la balle du 2-0 à Aïssa Mandi lors de la victoire des Rouge et Blanc 3-1 à domicile.
3. Enfin premiers buteurs, une situation à laquelle le SDR n’avait plus goûté depuis 5 matchs, les Stadistes ont confirmé leurs bonnes dispositions lorsqu’ils ouvrent score. Les trois dernières rencontres qui ont vu les Rémois faire la course en tête se sont terminées par une victoire de ces derniers face à Nantes, Bordeaux et Caen.
3/4. En marquant hier à la 11ème minute de jeu, Prince Oniangué a signé un retour gagnant prouvant qu’il n’a rien perdu de la belle forme affichée avant sa blessure qui l’a tenu éloigné des terrains pendant 6 semaines. Le capitaine de la sélection congolaise enregistre ainsi son 3ème but sur les 4 derniers matchs auxquels il a pris part en Ligue 1 (Caen, Bastia, Paris, Nantes).
6. Cela fait désormais 6 matchs consécutifs que le FC Nantes n’a plus connu la victoire au Stade Auguste Delaune. Le bilan est de 4 succès pour le club champenois et de 2 matchs nuls. La dernière défaite rémoise remonte à la saison 1978-79.
12. Nicolas De Préville n’avait plus trouvé le chemin des filets depuis 12 journées. Il s’était depuis sa dernière réalisation face au Gazélec Ajaccio (21ème journée) mué en passeur décisif. Son coup franc victorieux a été détourné mais le but lui a finalement été accordé, portant le compteur buts du numéro 12 à 7 unités cette saison.
37. Comme le nombre de caractères du hashtag d’encouragement #JeVeuxQueLeStadeDeReimsResteEnLigue1 lancé et relayé sur Twitter par les supporters du SDR la veille et le jour du match. Des messages de soutien qui ont porté chance aux Stadistes. Merci à tous les Rouge et Blanc qui ont rejoint le mouvement et aux 12 143 fans présents à Delaune hier pour pousser leur équipe !
42. Laisser la balle à l’autre équipe sied peut-être mieux à cette équipe du Stade de Reims qui avait essayé de faire le jeu en s’accaparant le ballon lors de ses 4 derniers matchs, sans réelle réussite car seul le nul à Monaco avait évité aux Marnais de stagner complètement. Avec 42% de possession hier, les hommes d’Olivier Guégan ont, comme face à Bordeaux, laissé le ballon à leurs adversaires du soir se montrant plus directs en phase offensive et surtout plus efficaces.
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Formation, féminines : les résultats du week-end
Les week-ends se suivent et se ressemblent pour la réserve du Stade de Reims. Les coéquipiers de Rémi Oudin, encore buteur ce dimanche, se sont une nouvelle fois imposés à domicile, face à Forbach (5-3). Chez les Féminines, la D2 jouait un match décisif pour le maintien en recevant Hénin-Beaumont. Elles ont obtenu le match nul et vierge et conservent 6 points d’avance sur le premier relégable, Nancy. Toutes les équipes jeunes du SDR étaient exemptées en cette période de vacances scolaires.
Groupe Elite :
CFA2 Stade de Reims 5-2 Forbach
Groupe Féminines :
D2 Stade de Reims 0-0 Hénin Beaumont
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ESTAC-SDR : Le groupe rémois
Pour le derby face à l’ESTAC, Olivier Guégan a convoqué 19 joueurs. Découvrez le groupe retenu pour la 34ème journée de L1 qui se disputera demain, samedi 16 avril 2016 (20h), au stade de l’Aube.
Le groupe
Gardiens : AGASSA Kossi, CARRASSO Johann.
Défenseurs : CONTE Antoine, MANDI Aïssa, SIGNORINO Franck, TRAORE Hamari, TURAN Atila, WEBER Anthony.
Milieux : CHARBONNIER Gaëtan, DEVAUX Antoine, KANKAVA Jaba, NDOM Aly, ONIANGUE Prince, RODRIGUEZ Hugo.
Attaquants : BANGOURA Lass, BIFOUMA Thievy, DE PREVILLE Nicolas, NGOG David, SIEBATCHEU Theoson-Jordan.
Infirmerie
FOFANA Mohamed (ischios), PEUGET Alexi (pubalgie pariétale), RIGONATO Diego (adducteurs).
Absents
BULOT Frédéric (choix), EL KAOUTARI Abdelhamid (reprise), FORTES Odaïr (reprise), KAMARA Hassane (choix), KYEI Grejohn (reprise) MFULU Omenuke (choix), PLACIDE Johny (choix), TACALFRED Mickaël (choix).
ESTAC Troyes – Stade de Reims
Ligue 1 – 34ème journée.
Stade de l’Aube, samedi 16 avril 2016 à 20h.
Match retransmis en direct sur BeIN Sports.
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ESTAC-SDR : Brèves de conférence
Concentrés sur le derby, surtout pour l’opportunité qu’il représente de faire un nouveau pas vers le maintien, Aïssa Mandi et Olivier Guégan évoquent leurs adversaires troyens et l’importance que pourrait jouer le parcage rémois au stade de l’Aube…
Le derby face à Troyes
Olivier Guégan : « Les derbys sont des matchs différents dans lesquels il y a indéniablement une envie plus forte de jouer, d’autant plus dans la dernière ligne droite du championnat. Même relégué, Troyes voudra exister contre nous. Il y aura beaucoup d’intensité, d’engagement mais on est prêt pour aller valider notre victoire obtenue contre Nantes. On veut continuer à avancer vers notre objectif qui est le maintien ».
Aïssa Mandi : « C’est un derby que je connais depuis tout petit. J’en ai joués beaucoup en jeunes et ma première entrée avec les pros c’était contre Troyes en Coupe de la Ligue (premier tour en 2010 ndlr). On avait gagné aux tirs au but, ça laisse forcément de bons souvenirs… Mais cette rencontre, c’est aussi et surtout un match décisif pour rester hors de la zone rouge, au même titre que les 5 oppositions qu’il nous reste en championnat ».
Aïssa Mandi : « L’expérience acquise la saison dernière va compter et on espère la mettre à profit cette année »
Portrait de l’ESTAC
Olivier Guégan : « Troyes est une équipe qui met beaucoup d’engagement dans les 20 premières minutes mais qui est moins constante sur la durée. Il va falloir être très vigilant sur cette entame, prendre en main la rencontre, imposer notre football et notre envie de faire un résultat ».
Aïssa Mandi : « C’est une équipe joueuse qui est, d’une certaine manière, libérée parce qu’ils n’ont plus de pression depuis l’officialisation de leur relégation. En plus de cela, c’est un derby. Les Troyens vont être motivés et il faudra faire attention ».
La comparaison avec la saison précédente
Olivier Guégan : « L’année dernière, on est allé gagner à Evian et Bastia… On a su répondre présent alors que peu de personnes nous donnaient vainqueurs. On connaît désormais mieux ces situations et la manière dont il faut les aborder. On sait que tous les matchs qui nous attendent seront difficiles à jouer. Si Troyes est lanterne rouge, samedi, l’équipe va augmenter son niveau dans le derby. On devra être prêt ».
Aïssa Mandi : « On était dans une position similaire en 2014-15, cette rencontre à Troyes ressemble un peu au déplacement à Evian. C’est un match décisif et on a besoin des trois points. L’année dernière, on l’avait pris du bon bout et réussi à l’emporter. Cette expérience va compter et on espère la mettre à profit cette année ».
« C’est extraordinaire de savoir qu’on aura un public nombreux au stade de l’Aube ! »
La présence des supporters Rémois dans l’Aube
Olivier Guégan : « C’est extraordinaire de savoir qu’on aura un public nombreux au stade de l’Aube ! On est dans le money-time, on sait que les supporters sont derrière nous et qu’ils nous pousseront pendant 90 minutes. Ce match peut conditionner notre fin de saison, à nous de faire le job ».
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Formation, féminines : les résultats du week-endCommuniqué du Stade de Reims après la rencontre ESTAC-SDR
insti actuAu-delà de la déception engendrée par le match de samedi, des événements extra-sportifs graves se sont déroulés à l’extérieur de l’enceinte auboise, en marge de la rencontre ESTAC-SDR. Le Stade de Reims transmet son soutien et ses vœux de rétablissement les plus sincères à ses supporters attaqués et blessés en avant-match. Le club condamne ces incidents majeurs et réaffirme son total rejet de la violence dans les stades et en dehors.
17-04-2016
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Retour à la compétition pour les équipes du centre de formation. La CFA2 a concédé le match nul en Alsace et conserve son leadership dans le groupe F, avec 8 longueurs d’avance sur Raon l’Etape. Champions de France en titre, les U19 Nationaux ont battu Auxerre à domicile et reviennent dans le haut du classement. Les U17DH se qualifient en ½ finale de Coupe Régionale en dominant Prix les Mézières. Chez les Féminines, les U19 Nationaux étaient en déplacement à Dijon et ont obtenu un bon match nul en revenant de 1-3 à 3-3.
Groupe Elite :
Schiltigheim 1-1 CFA2 Stade de Reims
U19 Nationaux Stade de Reims 1-0 Auxerre
Groupe Féminines :
Dijon 3-3 U19 Nationaux Stade de Reims
Groupe Formation :
Prix les Mézières 1-3 U17 (DH) Stade de Reims
Pré-formation :
U15 (DH) Stade de Reims 6-0 Epernay
Tournes 0-4 U13 (Challenge CE) Stade de Reims
Vitry 1-7 U13 (Excellence) Stade de Reims
Re: [CLUB] - STADE DE REIMS
OGCN-SDR : le groupe rémois
Pour le déplacement à Nice, Olivier Guégan a fait appel à 18 joueurs. Découvrez le groupe retenu pour la 35ème journée de Ligue 1 qui se disputera demain, vendredi 22 avril 2016 (20h30), à l’Allianz Riviera.
Le groupe
Gardiens : AGASSA Kossi, CARRASSO Johann.
Défenseurs : CONTE Antoine, MANDI Aïssa, SIGNORINO Franck, TRAORE Hamari, TURAN Atila, WEBER Anthony.
Milieux : CHARBONNIER Gaëtan, DEVAUX Antoine, MFULU Omenuke, NDOM Aly, ONIANGUE Prince, RODRIGUEZ Hugo.
Attaquants : BANGOURA Lass, DE PREVILLE Nicolas, KYEI Grejohn, SIEBATCHEU Theoson-Jordan.
Infirmerie
FORTES Odaïr (genou), PEUGET Alexi (pubalgie pariétale).
Absents
BIFOUMA Thievy (reprise), BULOT Frédéric (choix), EL KAOUTARI Abdelhamid (repos), FOFANA Mohamed (reprise) KAMARA Hassane (choix), KANKAVA Jaba (suspendu), NGOG David (choix), PLACIDE Johny (choix), RIGONATO Diego (reprise), TACALFRED Mickaël (choix).
OGC Nice – Stade de Reims
Ligue 1 – 35ème journée.
Allianz Riviera, vendredi 22 avril 2016 à 20h30.
Match retransmis en direct sur BeIN Sports.
OGCN-SDR : Messieurs, des actes !
Redorer le blason rémois face à une équipe ultra-offensive. La tâche des Rouge et Blanc s’annonce ardue. Pour autant, les joueurs d’Olivier Guégan veulent y croire et tenteront tout ce soir pour faire déjouer l’OGC Nice…
L’opportunité était belle mais elle n’a pas été saisie. Le Stade de Reims devra donc cravacher jusqu’au bout pour arracher une cinquième saison consécutive dans l’élite. Les Rouge et Blanc s’étaient pourtant ouvert la voie d’une fin de championnat plus paisible en battant Nantes à domicile. Leur manque d’engagement en terres auboises l’a de nouveau obstruée. « Face à Troyes, on était amorphe, fébrile et on a manqué d’engagement et d’intelligence. On a attendu de se faire fesser pour commencer à jouer… » Des mots à chaud mais des mots forts de la part d’Olivier Guégan au sortir de la défaite dans le derby…
Depuis, la colère du coach qui assume également sa part de responsabilité, s’est estompée. Il n’en attend pas moins une preuve de l’orgueil rémois ce soir sur la Côte d’Azur. « La grande chance dans le football c’est que tous les week-ends, on peut remettre l’église au milieu du village et c’est ce que j’attends des joueurs demain, je veux une réaction importante ». Face à un cador de la Ligue 1, les Stadistes peuvent trouver des motifs d’espoir dans le match aller et leur capacité à souvent mieux répondre face aux écuries plus huppées. Les Rouge et Blanc ont ainsi remporté la moitié de leurs points cette année face aux équipes qui sont actuellement dans la première partie de tableau.
Nice : un jeu collectif et une grande maîtrise technique
Si les Rémois veulent y croire, enrayer la machine azuréenne ne sera pas chose aisée. Ils devront contrer une équipe tournée vers l’avant et redoutable par sa justesse. La 18ème place de l’OGCN au classement des équipes qui frappent le plus au but (354 tirs) ne les empêche pas d’être la quatrième attaque de Ligue 1. Les hommes de Claude Puel sont en effet décisifs toutes les 7 frappes en moyenne. Seul le PSG fait mieux (1 but toutes les 5,5 frappes). Avec 55% de possession cette saison, Nice aime également tenir le ballon et concentre principalement son jeu autour d’un trio extrêmement technique : Seri-Mendy-Koziello. À eux trois, ils représentent près d’un tiers des 23 412 ballons joués cette saison (deuxième meilleure statistique, encore derrière Paris) par les pensionnaires de l’Allianz Riviera.
« Et Nice dispose également d’un phénomène capable de décanter des situations à lui tout seul ». Le coach rémois fait évidemment allusion à Hatem Ben Arfa qu’on ne présente plus. Maître à jouer, accélérateur, il en est déjà à 16 buts cette saison et vient d’inscrire un triplé le week-end dernier. Alors comment faire déjouer une équipe ultra-offensive ? Le technicien stadiste apporte un premier élément de réponse. « Ce soir, il ne faudra pas laisser Nice faire le jeu à sa guise. On doit essayer d’avoir une possession assez conséquente et surtout haute pour leur faire mal parce que c’est une équipe qui n’aime pas forcément défendre ». Le second sera sans aucun doute l’intensité qui ne devra désormais plus faillir jusqu’à la fin de saison si le SDR veut atteindre son objectif.