[CLUB] - STADE DE REIMS

[spoucknick00]

ouai puel on a beau dire ce qu on veut , c est quand meme un bon coach

[babar051]

La rencontre Stade de Reims - Lyon, comptant pour la 31e journée de Ligue 1, aura lieu le dimanche 7 avril à 17h00. Tous à Delaune pour ce grand rendez-vous ! Pour réserver votre billet : http://billetterie.stade-de-reims.com/" onclick="window.open(this.href);return false;

Evian TG-Reims, la programmation
La rencontre Evian TG - Stade de Reims, comptant pour la 30e journée de Ligue 1, a été programmée au samedi 30 mars à 20h00.

Le groupe des 18 contre Rennes !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour la réception de Rennes, samedi à 20h00 (29e journée de Ligue 1).
Stade de Reims : Agassa, Placide – Glombard, Weber, Fofana, Signorino – Krychowiak, Devaux, Ca, Fortes, Diego, Ayite, Pereira, Peuget – Ghilas, Fauvergue, Courtet, De Preville.

Infirmerie : Tacalfred, Ghisolfi, Mandi, Ramaré

[spoucknick00]

putin la gueule des blessées 2 titulaires sur 4 et en defense en plus

[babar051]

Signorino, un retour en pointillés
Pas toujours titulaire à Reims, qui accueille Rennes samedi (20h00), Franck Signorino a néanmoins atteint son objectif. Celui de rejouer en L1, après des années difficiles...
Franck Signorino (au centre) revit cette saison à Reims. (L'Equipe)


8a+a-imprimerRSS
Les chemins du retour vers la Ligue 1 sont parfois balisés par l’imprévu. Franck Signorino les a empruntés, lui qui avait fréquenté l’élite pour la dernière fois en 2006-2007 avec le FC Nantes. Son exil ibère (Getafe) a tellement mal tourné qu’il aurait pu interrompre sa carrière. « En mai 2008, après avoir joué cinq mois avec une fracture de fatigue, je me suis fait opérer. Mais le chirurgien a provoqué une deuxième fissure et, quand j’ai repris, le tibia a cassé. J’ai mis tellement longtemps à revenir que j’ai eu peur pour la suite de ma carrière », explique le défenseur rémois. « Getafe ne comptait plus sur moi, j’ai été prêté à Carthagène, et à mon retour, j’ai résilié mon contrat. »
Charleroi et Laval, deux étapes avant le retour

Quand la saison 2010-2011 redémarre, Signorino pointe à Pôle Emploi et s’entraîne avec la réserve du FC Metz, le club où il s’est révélé au début du siècle. « Je n’ai intéressé personne, à part Charleroi, qui était dernier du championnat belge. J’y suis allé en janvier 2011, car j’avais besoin de jouer. Je ne remercierai jamais assez les dirigeants de m’avoir offert cette opportunité. » S'il éveille l’intérêt de clubs belges aux noms un peu plus ronflants, c’est finalement à Laval que celui qui ne se considère pas comme un mercenaire – « si j’ai connu beaucoup de clubs ces dernières années, c’était pour me relancer, et pas pour l’argent, car à Charleroi comme à Laval, j’ai signé pour des salaires peu élevés » - a redécouvert un plaisir simple, celui de disputer une saison (presque) complète (30 matches) et convaincante.
« Je ne revendique pas une place de titulaire »

Signorino et Reims ont retrouvé la Ligue 1 ensemble, sous la forme d’un contrat de deux ans. « Mais j’ai l’impression d’avoir vraiment commencé ma saison en novembre, et encore », glisse-t-il. Onze fois titulaire en douze apparitions, écarté du déplacement à Sochaux le 19 janvier (0-1) pour s’être interrogé à haute voix sur l’intérêt que lui portait Hubert Fournier, le défenseur rémois assure qu’il n’a « jamais voulu partir au mercato. J’ai livré ma pensée maladroitement. Je ne revendique pas une place de titulaire. J’ai envie de jouer, comme n’importe quel footballeur, mais mon objectif, c’est que Reims se maintienne, et de l’y aider...»

[spoucknick00]

ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ils ont gagné en jouant tres tres tres tres mal . Merci les dieux du foot et les mecs peuvent appelé leur femme car on a eu une chance de cocu ce soir

[Matrimoni]

bah vu votre position, à votre place je signerai les 3 pts pour un jeu pourri... ce qui a été le cas Le mauvais coup, c'est la victoire de Bastia... ça n'aide pas

[babar051]

Cheville touchée pour Fortes
Remplacé à la 28e minute samedi par Diego lors de la victoire de Reims contre Rennes (1-0), Odaïr Fortes a reçu un coup sur la cheville droite, opérée fin 2011. Par précaution, l'attaquant rémois passera une radio lundi.

Bastia on s'en fiche c surtout la victoire d'Evian qui nous arrange pas vu qu'on les affronte dans 15jours chez eux

Stade de Reims – Stade Rennais 1-0

Ligue 1 – 29e journée
Stade Auguste Delaune - 12.904 spectateurs
Arbitre : M.Moreira

Stade de Reims : Agassa – Glombard, Fofana, Weber (cap.), Signorino – Krychowiak, Ca, Devaux (Peuget 62e) –Fortes (Diego 27e), Fauvergue (Courtet 61e), De Préville

Stade Rennais : Costil – Théophile-Catherine, Boye, Kana-Biyik, Mavinga – Makoun, A.Diarra (Pajot 60e), Diallo – Danzé (cap.) (Sané 78e), Erding (C.Diarra 45e), Pitroipa

But pour Reims: Fofana (31e)
Avertissement pour Reims : Diego (74e)
Avertissements pour Rennes : Mavinga (28e), Sané (89e)

Le Stade de Reims s'est imposé (1-0) face au Stade Rennais, à l'occasion de la 29e journée de Ligue 1. Un but de Mohamed Fofana a permis aux siens de prendre un avantage ferme et définitif, avant de contenir les offensives rennaises en seconde période.

D’entrée de jeu, les Rémois sont plus mordants et remportent les duels, cela a le don d’agacer des Rennais agressifs. Pourtant, la première occasion est pour les Bretons quand Théophile-Catherine s’échappe sur la droite et tente le lob, heureusement Kossi Agassa avait bien anticipé (10e). Comme à l’aller, un événement handicapant intervient à la 14e minute. Odair Fortes, bien en jambe, est victime d’un coup de Mavinga et doit céder sa place. Cela n’empêche pas les Rémois de se montrer dangereux. A la 31e minute et sur la première véritable occasion, Antoine Devaux ajuste un centre tendu, Mohamed Fofana s’élève plus haut que Costil et place un coup de tête rageur qui trouve le petit filet ! (1-0, 31e). Les 12.904 spectateurs sont ravis et continuent de pousser les Rouge et Blanc. A deux minutes de la pause, Diego contrôle un long ballon puis enchaîne d’une frappe puissante, elle passe juste à côté (43e). A la mi-temps, le Stade de Reims est l’équipe la plus réaliste et mène logiquement au score.

Dès le coup d’envoi de la seconde période, les Rennais montrent d’autres intentions, plus offensives. Le Rennais le plus dangereux est Pitroipa, il est d’ailleurs tout proche de remettre les compteurs à zéros mais ses tentatives sont imprécises (54e). Les joueurs de Frédéric Antonetti ne laissent pas de répit aux Rémois. A la 60e minute, un centre rennais est mal dégagé, Alou Diarra reprend de demi-volée des 20 mètres, Delaune retient son souffle et le poteau vient sauver Kossi Agassa ! Le Stade de Reims respire. Rennes gagne la bataille du milieu de terrain depuis la pause et cela se ressent au niveau des occasions de but. A l’image de Franck Signorino, auteur d’interventions décisives, les Rouge et Blanc tiennent bon défensivement. La fin du match est parfaitement maitrisée par les hommes d’Hubert Fournier et le Stade de Reims s’impose au terme des trois minutes de temps additionnel. La deuxième victoire consécutive à domicile fait le plus grand bien. A l’issue de ce match, les Rouge et Blanc totalisent 30 points et s’emparent de la 16e place. Prochain match dans deux semaines, dû à la trêve internationale, et un déplacement important à Annecy face à Evian Thonon Gaillard.

[babar051]

Reims - Rennes, les réactions
Jean-Pierre Caillot
Cela fait du bien de prendre ces trois points avant une coupure de quinze jours. J'ai vu une victoire au courage. Les garçons ont été héroïques avec mention spéciale à Franck Signorino qui a été incroyablement géant. L'ensemble de l'équipe est à féliciter. On a retrouvé notre Kossi et on a retrouvé nos valeurs. Cette belle leçon de courage nous apporte trois pints précieux.

Didier Perrin
Ce n'est pas le plus beau match qu'on ait vu à Delaune mais on prend ces trois points avec plaisir. On a beaucoup souffert en seconde période mais on a tenu. Les joueurs ont été héroïques, de vrais guerriers, et il faut les féliciter.
On va maintenant aller à Evian pour ramener quelque chose.

Hubert Fournier
On arrive dans une période de la saison où chaque points compte et on en prend trois ce soir ce qui est satisfaisant. La victoire a été acquise avec le courage, le coeur et les tripes et j'espère que ça va nous renforcer pour la fin de saison.
On a baissé le pied en seconde période mais on est tombé sur une équipe plus puissante que nous. Il a donc fallu s'accrocher. On a plié par moments mais on n'a jamais rompu. On a bien défendu car on a concédé peu d'occasions malgré l'emprise Rennaise.
C'est une victoire importante avant la mini trève.

Olivier Guégan
Le plus important ce soir ce sont ces trois points car on est dans le sprint final. Les matches à la maison sont capitaux pour le maintien. On a du mal au niveau du jeu mais on n'est pas aidé par le terrain. Certains joueurs faisaient leur rentrée et donc avait besoin de temps de jeu. La grosse satisfaction de la soirée c'est l'état d'esprit affiché. Les joueurs n'ont pas lâché et on prend ces trois points en se bagarrant ce qui est de bon augure pour la suite.

Nicolas De Préville
Cela fait du bien de prendre trois points même si ça a été un peu laborieux. On a eu du mal à finir car on était plusieurs à avoir des crampes. On s'est beaucoup investi pour aller chercher la victoire qui est méritée.
J'ai eu du mal à rentrer dans le match puis cela a été mieux. A la fin j'ai serré les dents car j'avais des crampes.

Franck Signorino
C'est une victoire au courage après une bonne première mi-temps. Ensuite on a souffert et à défaut d'être ingénieux, on a eu du coeur. On a été malmené mais on n'a pas craqué car ils n'ont eu qu'une grosse occasion.
On a été solide et il faut renouveler ce type de prestation.

Mohamed Fofana
C'est une victoire qui nous fait du bien juste avant la treve. On s'est battu pour l'obtenir et c'est de bon augure pour la suite. Mon but fait évidemment plaisir surtout que je n'en marque pas souvent. Le dernier c'était contre Boulogne et il avait déjà été décisif. Il faut féliciter les supporters qui nous ont beaucoup aidés dans ce match. On le dit à chaque fois mais le douzième homme est primordial et c'est tous ensemble qu'on s'en sortira.

[babar051]

Stade de Reims : « Il reste neuf finales »
Grzegorz Krychowiak et les Rémois commencent à retrouver le rythme d'un candidat crédible au maintien.


Précieux, le succès d'hier a pris toute son importance à la lecture des autres résultats. Le Stade ne lâche pas mais les autres non plus.

EN 2013, les Stadistes avancent sur un rythme régulier : 3 victoires, 2 nuls et 5 défaites. La cadence est surtout intéressante depuis février (3 v - 1 n - 2 d), soit 10 points en six matches. C'est exactement leur compteur du début de saison, après six matches. Autrement dit, le promu est redevenu une équipe de haut de tableau à la sortie de l'hiver comme il le fut au crépuscule de l'été.
Reims a terminé sa soirée plus confortablement qu'il ne l'avait commencée. Et cela comblait Hubert Fournier.

La barre des 30 points atteinte

Au coup d'envoi, il était ex æquo avec le premier relégable, Sochaux. Au dernier coup de sifflet, il a pris deux points d'avance sur lui. C'était suffisant pour ne pas gâcher la soirée des Rouge et Blanc qui tiquaient à peine sur la victoire de Bastia contre Lyon (4-1) et celle encore moins arrangeante d'Evian-Thonon-Gaillard à Lille (2-1). « On a fait le taf, affirme Gaëtan Courtet. Mais, on voit que ce sera dur jusqu'au bout. »
« Il nous reste neuf finales à jouer, compte Nicolas Fauvergue. On a retrouvé l'état d'esprit du début de saison, nos valeurs de solidarité, d'envie. » Sans elles, le Stade n'est plus grand-chose. « On se concentre sur nous mais on a envoyé un signal à nos concurrents, tranche Franck Signorino, meilleur homme de la soirée. On a dit à Nancy, Troyes et Sochaux que, s'ils voulaient s'accrocher, ça allait être dur pour eux. »
« Les autres ne lâchent rien, mais nous non plus », répète Mohamed Fofana, buteur pour la première fois depuis octobre 2009. « Le fait que les autres résistent doit nous donner du peps », poursuit l'ex-Toulousain qui a, lui aussi, fait ses opérations. « Il faut faire un carton plein à domicile. Personne n'aurait mis une pièce sur Evian à Lille mais personne n'aurait misé sur nous non plus contre le PSG. On doit être capable d'aller prendre des points à l'extérieur, ce serait le bonus. L'occasion se présente à Evian dans deux semaines. Ce sera un match à ne pas perdre. »
Nancy est là pour rappeler que Reims peut enfoncer un rival. Comme l'ETG, l'ASNL était dans une bonne passe. Elle n'a jamais digéré sa défaite à Picot. Le Stade pourrait refaire le coup à Annecy le 30 mars, là où il a déjà gagné. C'était à Noël 2010 et cette victoire avait été un acte fondateur. Derrière, il y avait eu la trêve puis l'aventure en Coupe de France, stoppée à Delaune par Nice.
Toutefois, s'il y a un coup à faire là-bas, Signorino pense aussi que c'est surtout à Reims que se construira le maintien : « Je le dis depuis le départ. Je ne dis pas qu'on abandonne à l'extérieur mais on a plus de facilités devant notre public. » « On a passé la barre symbolique des 30 points qui va nous permettre de travailler plus sereinement », enchaîne Mohamed Fofana.
« Il nous manque douze points », calcule Nicolas Fauvergue. « Il nous reste quatre matches à domicile. Le calcul est vite fait. »

[Matrimoni]

Tout est dans le titre... pareil pour le PSG et les autres prétendants au titre

[babar051]

Stade de Reims : l'énergie de l'espoir
Sur le coup franc tiré par Antoine Devaux de la gauche, Mohamed Fofana a trompé la vigilance des défenseurs rennais pour punir Benoît Costil et faire chavirer Delaune de bonheur à la 31e minute.

La 7e victoire de la saison, la 6e à domicile, décrochée hier face à de solides Rennais, permet à Reims de rester en course pour le maintien. Ce qui, pour l'instant, suffit à son bonheur.

EN voilà une qui fait du bien ! A ce moment de la saison, où les points se comptent et se recomptent en ordre croissant ou décroissant, où les entraîneurs se transforment en intransigeants apothicaires, le Stade de Reims a compris que son avenir dans l'élite se gagnera à la sueur de son front.
Tous ses concurrents directs - à l'exception de Brest - ayant pris des points hier, Reims a donc bien fait de ne rien lâcher dans son terrible bras de fer avec Rennes.
En enchaînant un deuxième succès consécutif à domicile, il reste bien calé dans le grupetto.
Ainsi, il passera la trêve internationale avec 30 points. Un précieux pécule qui ne lui garantit rien, mais lui offre une bonne bouffée d'oxygène avant son face-à-face attendu avec Evian.
« On a souffert, a expliqué un Hubert Fournier soulagé, mais on n'a pas rompu. Ce succès nous apporte la confiance nécessaire pour la suite de l'aventure ».

LE CONTEXTE
Compliqué pour deux équipes en quête de sérénité. Si Rennes, privé d'Alessandrini et Féret, a peut-être déjà la tête à la finale de la Coupe de la Ligue, Reims n'avait d'autre choix que de s'imposer pour rester dans la course au maintien.
La confrontation s'annonçait incertaine et, pour la majorité des parieurs, à l'avantage du Stade Rennais.

LA STRATÉGIE
Laisser souffler des éléments très sollicités, relancer d'autres en manque de temps de jeu, sans trop chambouler l'équipe : Hubert Fournier s'est creusé les méninges cette semaine, pour finalement décider de relancer Fauvergue et de récompenser De Préville, en conservant un schéma classique.
En face, Rennes évoluait dans un 4-2-3-1, avec un Pitroipa en électron libre, un peu comme l'est habituellement Féret.

LA PHYSIONOMIE
« De la puissance, de la vitesse de l'impact », avaient prévu les Rémois. Ils ont été servis, se heurtant ainsi à un mur noir supporté par les cerbères Makoun et Alou Diarra.
Sans un Agassa vigilant, les Bretons, percutants, auraient pu ouvrir la marque par Théophile-Catherine et Diallo. Cela aurait quand même été injuste pour les Champenois, beaucoup plus entreprenants, malgré la sortie prématurée de Fortes, victime d'une charge de Mavinga.
Le but de Fofana récompensait la logique mais fébrile domination locale.
La seconde période a été rennaise. Les Bretons ont carrément kidnappé le ballon, obligeant leurs adversaires à défendre. Ce qu'ils firent d'ailleurs avec brio, courbant parfois l'échine, mais refusant de rompre.
Le jeu rémois manquant de profondeur depuis la sortie de Fortes, les Rouge et Blanc passèrent leur temps à courir après un ballon fuyant leurs chaussures. Mais le tir sur le poteau d'Alou Diarra resta sans suite. Si la possession était rennaise, la combativité restait locale.

LE TOURNANT
On peut penser que la sortie de Fortes dès la 27e minute, a modifié le jeu rémois, le privant de percussion et de profondeur. Même si De Préville et surtout Diego ont honnêtement tenu leur rôle… très défensif pendant 45 minutes, l'absence du Cap-Verdien s'est fait ressentir, notamment dans le développement de quelques contres.
Côté breton, le tir d'Alou Diarra trouvant le poteau droit d'Agassa, aurait, à quelques centimètres près, pu changer la face de ce match heurté et engagé.


LE CHIFFRE 50
Comme le nombre de matches disputés par Mohamed Fofana entre son dernier but marqué en Ligue 1 (le 28 novembre 2009, victoire 1-0 de Toulouse contre Boulogne), et celui inscrit hier soir.

[Matrimoni]

tu dis que tu t'en fous de Bastia... mais ils auraient perdu contre Lyon, vous seriez devant eux à la différence de but... ça peut se jouer à sa sur la fin de saison, égalité de point, mais finir 17e car meilleur différence de but que le 18e... donc non, la victoire de Bastia ne vous arrange absolument pas, surtout contre Lyon car c'était un match à gagner par Lyon

[spoucknick00]

bahon s en fou dans le sens ou dé l instant qu on a 3 equipes derriere Reims , nous on s en fou royal Evian c est special car on les aime autant qu on aime les sedanais :siflotte: donc dans 15 jours sa va etre super tendu le match

[babar051]

Stade de Reims : le salaire de la sueur
La cohésion et la détermination affichées par les Rémois ont été récompensées.

FOOTBALL (L1). Face à des Rennais solides mais sans génie, les Stadistes, combatifs, ont décroché une courte mais précieuse 7e victoire, qui les maintient encore à l'abri, en position d'attente.

DE l'automne à l'hiver, au cœur d'une anfractuosité de 14 matches sans victoire, les Rémois ont découvert que la Ligue 1 n'offre aucun plaisir gratuit. Que dans l'univers enchanté et impitoyable à la fois de l'élite nationale, rien ne s'acquiert sans sueur et sans cœur. Se battre comme des chiffonniers, se jeter comme des crève-la-faim sur tous les ballons, se mettre « minables » tous les samedis devant les stars et face aux caméras, tel est le prix à payer pour conserver son rond de serviette à la table des grands.
« On doit se convaincre que notre maintien se jouera lors du dernier match », pronostiquait, il y a quelques semaines, l'avisé Kossi Agassa. À Marseille, le 26 mai ?

Signorino : « Il faut continuer »
La réalité saute aux yeux : plus on approche du terminus de la tournée, plus les positions se figent. Plus grave, l'exploit devient banal. Ainsi, quel profit ont su tirer Sochaux et Reims de leur victoire face au grand Paris SG ? Dans la charrette des condamnés potentiels à la relégation, le coup de prestige s'efface devant la régularité. On y vénère l'enthousiasme, le courage et l'abnégation, on y maudit la malchance et le dilettantisme.
À neuf journées de la fin d'un exercice marquant ses retrouvailles avec les fastes d'un passé trop longtemps enfoui, le Stade de Reims n'est sûr de rien. Pire, il se rend compte que gagner ses matches ne suffit même plus à son bonheur hebdomadaire, quand ses rivaux mettent autant d'ardeur à contrarier son destin.
« On arrive dans une période où chaque point compte. On a bien fait d'en prendre trois ce soir, car nos concurrents ont fait de même», reconnaissait samedi Hubert Fournier.
La troisième victoire de l'année 2013 - « sans doute pas la plus belle en terme de qualité de jeu », a expliqué le technicien rouge et blanc - a au moins le mérite d'exorciser les démons de Troyes (défaite 4-2). Elle permet au Stade de Reims d'atteindre la barre psychologique de 30 points et de passer devant Brest, en déroute à Lorient (4-0). « On a montré que l'on croit au maintien. Peu importe la manière, il faut continuer avec cet état d'esprit », a reconnu l'omniprésent Franck Signorino.
Joueurs, techniciens et dirigeants ont tous utilisé le mot « tripes » pour qualifier ce septième succès de la saison, concluant une partie pauvre en occasions, disputée sur une pelouse plus que difficile.
Peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse : « Avant la mini-trêve, cette victoire a son importance, assure Hubert Fournier. Les neuf matches qui restent à jouer nous promettent de belles bagarres ». Dans ce registre-là, l'entraîneur champenois a trouvé des volontaires : Ca, Fofana, Weber, Krychowiak, Signorino. Avec de tels soldats, il peut partir sereinement à la guerre.

[babar051]

Fofana : « J'ai vu que Costil était court »
C'était la fête à « Momo ». Fofana, buteur, félicité en direct par Franck Signorino, a offert trois points précieux à son équipe.

Clairvoyant dans sa course et son impulsion, Mohamed Fofana a inscrit son premier but en Rouge et Blanc samedi. Il vaut de l'or et permet de passer la trêve à l'abri.

C'EST un privilège rare qu'il ne réserve qu'à ses plus fidèles supporters. En Ligue 1, Mohamed Fofana marque rarement - un but toutes les 42 apparitions - mais toujours à domicile.
Samedi, le Franco-Malien a délivré Delaune d'un coup de boule sur un centre de Devaux. Un but 100 % ex-Toulousains avec la 4e passe décisive de la saison pour le Normand. Après coup, « Momo » savourait son sens du but ainsi dévoilé. Déjà impliqué sur le but victorieux de Krychowiak contre le PSG, Fofana, venu du Stadium l'été dernier pour « jouer le grand frère », se découvre une âme de guide. Le Stade peut partir à la guerre avec lui…

« Ne pas perdre à Evian »
Mohamed, qu'éprouve-t-on quand on offre la victoire à ses couleurs ?
« C'est une belle émotion. Avoir été passeur sur le but de Grzegorz contre Paris était déjà énorme. Là, c'est une satisfaction aussi forte. »

Vous vous remémorez l'action qui amène le but...
« Dès le départ, je sais que je vais jouer le coup à fond. J'anticipe le fait que Costil allait être court. Je l'ai senti. J'étais sûr que j'allais avoir le ballon. »

Cinq minutes plus tôt, vous aviez déjà eu une opportunité…
« Antoine m'avait déjà mis un bon ballon mais sur le pied gauche. J'ai voulu revenir sur le droit. J'ai su réaliser le crochet mais j'ai un peu perdu l'habitude de le faire… »


Cela fait un moment que vous n'aviez pas marqué ?
« Il faut remonter à un Toulouse - Boulogne en 2009. On avait aussi gagné 1-0 et c'était aussi de la tête. »

Le Stade a gagné mais ses concurrents directs ont aussi pris des points. La fête est-elle moins belle ?
« Absolument pas. Que les autres gagnent aussi ne gâche rien. On aurait, bien entendu, préféré prendre nos distances mais la victoire fait énormément de bien. On avait à cœur de renouer avec le succès, surtout à domicile où nous restions sur une victoire contre le PSG. On avait voulu enchaîner à Troyes mais les circonstances ne l'ont pas permis. Nos rivaux ne lâchent pas, ça doit nous donner du peps. Personne n'avait prévu que Lille perdrait contre Evian mais personne n'avait non plus mis une pièce sur nous contre Paris. »

Le match à Annecy contre l'ETG dans deux semaines s'annonce crucial !
« C'est un match à ne pas perdre. On a une occasion de refaire le coup de Nancy. Lui aussi était sur une bonne dynamique avant de nous recevoir. On l'a battu et il a eu énormément de mal à rebondir après. »

Voulez-vous dire que, pour obtenir des résultats, le mental va désormais primer sur la technique ?
« L'état d'esprit va être important et ça va se jouer effectivement dans les têtes. Il reste neuf matches. Il nous faudra trois ou quatre victoires. On sait que le maintien va se gagner à la maison. Prendre des points à l'extérieur sera du bonus. »

La coupure internationale intervient-elle au bon moment ?
« On va perdre quelques garçons qui rejoignent leur sélection mais on va pouvoir travailler plus sereinement grâce à cette victoire. Il était important de ne pas passer cette trêve dans la zone de relégation. Psychologiquement, ça fait du bien de ne pas être dans les trois derniers. »

[spoucknick00]

ayez fofana a marque , il se sent plus pisser :siflotte:

[babar051]

Le Stade de Reims retrouve le goût du combat
Deuxième victoire consécutive à domicile pour les Rémois.

FOOTBALL (L1). En un autre temps, pas si éloigné, Reims aurait sans doute cédé face à un rival aussi hargneux que Rennes. Cette fois-ci, sa détermination a été récompensée.

En dominant Rennes au forceps, samedi, le Stade de Reims a enchaîné deux victoires consécutives à domicile. Cela ne lui était plus arrivé depuis l'ouverture du championnat lorsqu'il en avait décroché quatre d'affilée sur sa pelouse entre la 3e et la 8e journée.
De ses six succès à Delaune, celui contre les Rouge et Noir rennais est, sans doute, le moins séduisant dans la manière. Mais elle fait naître l'idée que dans ce dernier quart de compétition, l'équipe marnaise n'a plus forcément obligation de très bien jouer pour arracher les trois points.

Les chiffres illustrent la sécheresse offensive de cette soirée pas encore printanière :
- 4 tirs pour un seul cadré (le but de Fofana, 11e scoreur rouge et blanc de la saison).
- 8 centres déclenchés.
- 2 interventions en tout et pour tout réalisées par Costil en 95 minutes passées sur la pelouse.
Pour un peu, ces statistiques maigrelettes se rapprochent de quelques productions déjà livrées à l'extérieur. On peut avancer quelques raisons pour expliquer une rencontre ayant aussi valu par la résistance dont ont fait preuve jusqu'au bout les Bretons :
- La sortie prématurée de Fortes, habitué d'allumer des mèches sur son côté droit. De Préville possède beaucoup de qualités mais pas celles d'animer un côté. Le flanc droit, point fort offensif des Stadistes, a ainsi perdu de son pouvoir de percussion.
- Le rendement de Fauvergue, très déterminant dans ses duels avec Boye ou Kana-Biyik mais jamais en position de frapper au but.
- L'apport non bonifié de Courtet qui, à sa décharge, a joué la mauvaise mi-temps, celle où les attaquants n'ont eu que peu de ballons à se mettre sous la semelle.
- Le changement de stratégie des Champenois qui menaient à la pause pour la première fois depuis le 14 décembre (Reims - Lille). Les hommes de Fournier ont alors laissé à des visiteurs privés de la touche technique de Féret le soin de prendre le jeu à leur compte. Responsabilité que les visiteurs ne sont, heureusement, jamais parvenus à assumer.

Si les Rennais ne sont pas parvenus à renverser la vapeur - leurs vagues venant se briser sans répit sur un Agassa redevenu un roc et un Signorino au tempérament de feu -, ils ont fait trembler les supporters rémois jusqu'au bout. Parce que leur favori a subi sans être jamais en situation réelle de ressortir proprement quelques ballons afin de porter le danger dans le camp adverse.
Antoine Devaux, on en revient quasiment toujours au même constat, a complètement perdu l'influence qu'il avait sur le jeu au cours des 45 premières minutes. On attendait beaucoup mieux de sa part dans la conservation du ballon et sa redistribution durant cette période très laborieuse.

Une singularité assez frappante du jeu rennais a été leur oubli complet du côté gauche durant la première mi-temps : aucune attaque de ce côté-là. Habituellement, les adversaires du Stade de Reims ne se gênent pas pour pilonner ce côté. Pitroipa et Mavinga se sont efforcés de se montrer un peu plus par la suite mais sans parvenir à déclencher un mouvement décisif. Décidément, ce n'était pas le soir du Stade Rennais, équipe qui cadre le plus de tirs en Ligue 1 : avec deux frappes cadrées (en comptant le poteau d'Alou Diarra) sur 14 tentatives, sa moyenne va en prendre un sérieux coup…

[jld]

GG le sdr, demmerdez vous pour arriver en roue libre au vel..tout simplement :papy:

[spoucknick00]

lol pourquoi tu aurais peur qu on soit obliger de vous battre et qu on le fasse et vous hop terminé 5eme

[Patchanka]

Tu sais que tu supportes le Stade de Reims quand...

http://www.sofoot.com/tu-sais-que-tu-su ... 67452.html" onclick="window.open(this.href);return false;

[spoucknick00]

excellent pat , le pire , j ai l impression de me voir dans l artcle

en tout cas super

[Patchanka]

Que c est il passé d octobre à février ?

[JJacq]

lol...

[spoucknick00]

Que c est il passé d octobre à février ?

[Matrimoni]